1. Sauvée par la médecine chinoise


    Datte: 06/05/2018, Catégories: ffh, asie, couple, couplus, extracon, Collègues / Travail médical, massage, Oral 69, pénétratio, fsodo, confession, couple+f, extraconj, f+medical, Auteur: RobertAnne62, Source: Revebebe

    ... Il fait sombre, mais je m’avance. Mais oui, c’est bien ce que je pensais. Oh, elles ne se disputent pas. Plus exactement elles se disputent pour savoir laquelle va se frotter à l’autre. Comment expliquer, une photo serait plus parlante. Elles sont sur le lit, allongées, mais sexe contre sexe, avec les jambes qui se croisent et gênent leurs mouvements. J’imagine que de cette façon le clito et tout le sexe de l’une cherchent le clito et le sexe de l’autre. Chacune cherche son propre plaisir ? Ou cherchent-elles à donner du plaisir à l’autre ? En tout cas c’est un combat vivant, frénétique que ces deux corps qui ondulent. Deux femmes qui se cherchent ? Mais jamais Nadia ne m’a parlé d’expériences lesbiennes ! Mais elles bougent.
    
    Maintenant je suis plus à l’aise pour décrire ce qui se passe. Je me retrouve en milieu connu, position que tous les sexes partagent. Avez-vous déjà pensé que certaines dates sont magiques ? Je ne parle pas des vendredi 13. Non, mais du 06/09/1969. Un chanteur célèbre a glorifié cette année érotique, 1969. Mais que dire du 6/9/69. Et bien ma tendre épouse, ma chère Nadia, est née le 6/9/69. Bien sûr, elle en a fait une spécialité. Mais ...
    ... d’habitude c’est moi qu’elle domine et qu’elle suce pendant que je la broute. Là, sous mes yeux, c’est ma secrétaire et maîtresse qui se fait dominer.
    
    Personne ne se plaint. Pas moi qui regarde ce tableau nouveau. D’ailleurs mon sexe est reparti à la hausse. Pas Julia, qui, bien qu’écrasée sous la charmante pression du sexe de ma femme se fait sucer le minou et le sillon avec la complicité de doigts envahissants. Pas ma Nadia qui se fait doigter le cul et le sexe par ma maîtresse. Elles n’ont pas besoin de moi pour se donner du plaisir, jouir et faire jouir.
    
    Je me retrouve assez ridicule le sexe toujours raide alors qu’elles reprennent leurs esprits et me découvrent. Alors elles se placent côte à côte au bord du lit pour m’offrir leurs intimités. Et je glisse ma queue dure, raide, presque douloureuse dans un vagin humide, ouvert, accueillant, avant de visiter le voisin. Si le noir était complet, serais-je capable de les reconnaître ? Je ne pense pas. Va. Viens. Entre. Sors. Oui. Encore. À chacune sa part. Surtout ne pas favoriser l’une ou l’autre. Je sens que je ne peux plus me retenir. Je me retire et j’arrose ces ventres de ma semence.
    
    La journée va être longue… 
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