Sauvée par la médecine chinoise - Histoires de Sexe

Sauvée par la médecine chinoise

Je sais ce que vous allez penser en lisant ces premières lignes : clichés, fantasmes. Mais attendez pour voir.

C’est vrai je suis dans mon fauteuil, au bureau, la braguette ouverte, le sexe bien raide et ma secrétaire me suce, à genoux, cachée sous le plan de travail. Et c’est bon, elle sait si bien le faire. Je ne vois que le haut de sa tête avec sa chevelure qui cache tout. Ses cheveux qu’elle utilise pour m’effleurer le sexe et les cuisses lorsqu’elle retire ma queue de sa gorge, comme si c’était possible de me faire durcir encore plus. Elle est capable de me prendre entièrement, de me pomper jusqu’à ce que je gicle entre ses lèvres. Et surtout, je sais qu’elle le fait sans contrainte, pour son plaisir autant que le mien.

Non, je ne suis pas un salaud de patron qui profite de sa secrétaire. Notre relation a commencé depuis deux mois maintenant. Un soir, il était vingt heures passées, j’étais en train de me branler devant une vidéo que je regardais sur le Net, quand on frappe à ma porte et Julia, ma secrétaire, entre comme à son habitude, sans attendre la réponse. Je n’avais pas fermé à clé car je l’avais vue partir et personne d’autre n’a accès à mon bureau. Elle s’avance.

— Excusez-moi, mais j’ai oublié de sortir le dossier pour…

Et là elle me découvre la queue à l’air avec cette vidéo qui tourne et le son qui va avec…

Elle recule et disparaît dans son bureau. Le temps que je reprenne mes esprits, j’échafaude une stratégie, mais rien ne peut excuser… si ...

... ce n’est la réalité. Je me rhabille, vérifie que je suis présentable, pas un satyre de quarante ans qui ne sait pas contrôler ses pulsions. Nous nous connaissons depuis des années et elle connaît Nadia, ma femme et nos deux enfants.

— Julia ? Vous voulez bien venir ?

Elle entre, à peine gênée, en tout cas pas effrayée.

— Asseyez-vous, je vous en prie, et je lui montre les deux fauteuils, dans un angle de la pièce, que j’utilise quelquefois lorsque je veux mettre un client ou un employé à l’aise. Je prendrais bien un verre, vous voulez quelque chose ? je l’interroge.

Elle ne veut rien, je me verse une bonne rasade de whisky et je commence.

— Je voudrais m’expliquer.
— Non, ce n’est pas nécessaire. Il ne s’est rien passé…
— Enfin, Julia. Si. J’insiste. Voilà. Ce n’est pas une excuse mais au moins une raison valable. Depuis la naissance de notre petit dernier, Nadia a, comment dire, des difficultés pour reprendre un rythme normal.
— Un rythme ?
— Oui, après la naissance de la première, tout était revenu très vite, même mieux qu’avant, en tout cas plus intense. Mais là, c’est le grand désert et depuis six mois je trouve le temps long.
— Oh, je comprends. Vous parlez de relations sexuelles ?
— Oui. Je ne suis pas du genre à aller voir ailleurs, j’aime trop ma femme. Alors, de temps en temps… Enfin… Vous voyez.

Sa réaction me surprend. Elle éclate de rire.

— Voila pourquoi vous vous astiquez le poireau, en solitaire, devant une vidéo porno !

Et elle ...