1. Une première fois en club


    Datte: 09/03/2021, Catégories: fh, couple, boitenuit, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, Partouze / Groupe sexshop, Auteur: Bertrand D2., Source: Revebebe

    ... le plus heureux des hommes. Je ne suis pas le seul qui doit aimer le tableau car je sens que la foule se presse derrière nous et que les couples de passage s’arrêtent plus longtemps qu’il ne serait nécessaire pour un petit coup d’oeil. Je les comprends. La vue que ma chérie leur offre comme cela de dos est divine, et je parle du type de vision divine qui ferait se damner un saint. Ses jambes longues et puissantes rehaussées par ses talons hauts, son cul ample et étroit à la fois, mystère que je n’ai jamais tout à fait élucidé, sa taille fine et son dos athlétique et son cou délicat sur lequel se déverse une longue et belle chevelure sont un délice pour l’oeil.
    
    Je la sens prête et je le suis aussi. Je pénètre ma douce, doucement mais fermement, m’enfonçant progressivement, jusqu’à la garde. Je me mets à aller et venir en elle alternativement lui caressant les seins, lui tenant les hanches, caressant sa taille et son ventre délicat sous sa chemise. Nous oubliâmes où nous étions jusqu’à ce que je fus si près de l’orgasme que je me retirai, haletant. Elle me laissa à peine respirer et me demanda de revenir en elle. Je la repris cette fois plus doucement. Je repris conscience de la foule autour de nous. Les couples passaient et s’arrêtaient de longs moments pour nous regarder. Ils n’étaient qu’à quelques centimètres derrière nous, et j’ai à plusieurs reprises senti un souffle sur moi, mais ce fin rideau les retenait, constituant une barrière certes transparente mais ...
    ... suffisante pour les arrêter. Sans doute certains espéraient un signe de notre part les invitant à nous rejoindre, mais nous étions entièrement pris par notre passion exclusive. Nous étions à notre tour devenus ceux qui s’exhibent pour le plaisir de la foule qui déambulait dans ce couloir. Le désir, des hommes en particulier, me semblait évident. Et je le comprenais. J’étais en train de faire l’amour à la femme la plus belle de la soirée. Elle était là, nue, offerte aux regards de tous, cette belle chatte entre ses si belles jambes se faisant pénétrer par mon sexe à quelques centimètres d’eux. Si pas un n’a esquissé le moindre geste, car cela aurait rompu le pacte implicite de respect mutuel de ces lieux, je sais que tous n’en souhaitaient pas moins ardemment pouvoir participer à nos émois.
    
    Ma chérie, protégée par ma présence et ce petit rideau translucide, semblait inconsciente de l’attroupement que nous avions créé, si focalisée qu’elle était sur nos ébats, la tête penchée en avant, les yeux révulsés. Après un certain temps elle sembla émerger et reprendre conscience de l’endroit et de la foule. Elle pencha la tête en arrière, m’embrassa une fois de plus avec fougue, se détacha doucement de moi pour reprendre son souffle. Puis après nous être rhabillés, nous sommes remontés prendre un verre et, ayant plus qu’épuisé nos désirs pour la soirée, nous prîmes la route du retour.
    
    La route du retour fut joyeuse. Je sentais ma chérie ravie tout en étant encore habitée de quelques ...
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