1. Une première fois en club


    Datte: 09/03/2021, Catégories: fh, couple, boitenuit, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, Partouze / Groupe sexshop, Auteur: Bertrand D2., Source: Revebebe

    ... couloir sombre nous jouons à notre tour le rôle de voyeurs. C’est quelque chose de bien étrange quand on n’y est pas familier. Pour moi j’y prends de plus en plus de plaisir avec les minutes qui s’écoulent. Il me semble évoluer au milieu d’un film érotique. La qualité des scènes qui s’offrent à nos regards varie. D’un côté j’aperçois un couple dans une position qui me semble grotesque, et ils poussent des cris effrayants. Rien là d’attirant. Sur ma gauche deux couples sont entremêlés dans un amas de jambes et de bras et il est bien difficile de savoir ce qui est à qui. C’est plus intrigant mais toujours peu émoustillant. Mais devant moi je suis soudain attiré par un autre tableau vivant. Dans une grande alcôve se sont réfugiées peut-être une dizaine de personnes, hommes et femmes. Tous sont intégralement nus. Le tableau qu’ils dessinent est puissamment érotique. Ils sont en train de copuler et semblent tous onduler dans la même fièvre, pratiquement sur le même rythme.
    
    Au premier plan deux hommes s’occupent d’une fort belle fille, peut-être âgée de vingt-cinq ans. Je reconnais une des deux femmes qui étaient entrées juste devant nous, ainsi que l’homme. J’apprécie fort leurs plastiques, hommes comme femme. Les hommes ne m’attirent en général pas mais quand je vois un couple ou, dans ce cas, un trio s’ébattre, l’harmonie entre eux est importante. En tout cas dans la pénombre ces trois-là formaient un fort beau tableau, très esthétique, on aurait pu penser à un ...
    ... Rubens.
    
    La demoiselle avait un très joli corps, ferme en apparence, et une jolie peau lisse, avec un fort joli cul au bout de jambes fines. La besogner devait être un réel plaisir pour cet homme, qui allait et venait entre ses jambes, tandis que l’autre la tenait dans ses bras. Cela au premier plan avec derrière les autres couples dans la pénombre qui formaient comme une corolle à ceux-là, comme composée par la patte d’un peintre baroque. Je jetai un coup d’oeil à l’ensemble puis commençai à me focaliser sur les trois du premier plan à nouveau qui venaient de changer de position. La femme embrassant l’un des hommes tandis que l’autre la prenait maintenant par-derrière. Lui aussi avait l’air de prendre son pied, le bougre, et je le comprenais ! J’aurais pu suivre leurs ébats jusqu’à la conclusion tant j’appréciais leur plastique et la sensualité qu’ils dégageaient mais je restais conscient que pour ma mie ce voyeurisme, encore neuf, restait un peu déconcertant.
    
    Je sentais néanmoins sa curiosité piquée au vif. Elle était prête à poursuivre l’exploration de ce couloir même si sa curiosité restait celle de l’anthropologue plutôt que celle de l’épicurien jouisseur que je suis. En avançant j’aperçus une toute petite niche inoccupée sur un côté, à peine protégée par un rideau très léger. Nous en prenons possession. Elle est si étroite que nous n’avons que la place de nous y tenir debout mais derrière ce rideau, qui nous dessine un espace privé même s’il ne nous soumet en rien à la vue de ...
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