Harpagon, la fleur et le novice
Datte: 06/05/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
couleurs,
extracon,
nympho,
complexe,
jalousie,
Masturbation
Oral
fsodo,
bourge,
Auteur: Evelyne63, Source: Revebebe
... l’attente n’en est que plus délicieuse.
Le destin est en marche. J’aurais pu me dispenser d’accélérer les choses, mais je ne suis plus qu’un robot programmé pour l’action. Je ne réfléchis plus, j’agis. Mon dessein me bouffe la tête : il est de le baiser ou de me faire baiser ; peu m’importe, les deux me conviennent. La chaleur de l’aventure me rend liquide, j’ai toutes les audaces. J’engage une main et caresse la protubérance avant de remonter plus haut, jusqu’à l’attache du short. Le renfort de mon autre main est nécessaire. La suite est de son ressort.
Il est nu, je le suis aussi. J’ai pris du champ. L’homme est bien bâti. Je le savais ; mais nu, il est plus impressionnant encore : les muscles sont déliés, sans graisse inutile. Il porte la majesté de ses vingt-six printemps. Son membre est au garde-à-vous, fier, arrogant, prêt à tirer. J’ai toujours été impressionnée par l’équipement masculin, surtout quand il est de belle facture. Ce phallus me fait tout autant d’effet que celui de Moctar. Je m’en saisis et le branle doucement. Il me faut chauffer l’homme, le désinhiber, car je vois bien qu’il est encore timide. Probable que ma couleur de peau lui en impose. J’imagine qu’il ressent en contrepoint le sentiment que j’éprouvais moi-même.
Quoi qu’il en soit, il surmonte ses effarouchements, m’attire, et m’enlace. Nos corps s’épousent, nos lèvres se joignent. Il est assez gauche, mais sa maladresse est attendrissante. Sa langue est hésitante, ses mains indécises. Je ...
... l’encourage et bouscule mon tempérament passif ; je me fais volontaire, gloutonne, et plus chatte encore que je ne suis. Ses caresses se font plus audacieuses, mais ne sont pas moins brouillonnes. Les apnées sont plus profondes, mais le baiser reste néanmoins malhabile et pas mal baveux. Avec un autre, une telle inexpérience me déplairait ; bizarrement, elle m’émeut de la part de Timagoo. Après une plongée, on remonte à la surface. Je suggère la suite tout en reprenant souffle :
— On devrait aller dans la chambre…
J’en franchis le seuil dans des bras vigoureux, telle une jeune épousée. Il a lu quelque part que la chose se faisait, me dit-il. Si sa culture livresque n’est pas contestable, je doute en revanche qu’il ait beaucoup pratiqué ; il n’est certes pas puceau, mais bien aussi novice qu’un très jeune marié. Du moins connaît-il le B-A-BA ; il a dû répéter, on sent la maîtrise, et une discipline toute militaire, genre « Prenez la position, et à mon commandement, tirez ! » C’est du rapide, net et sans bavures. L’exercice est bref. Je pourrais être frustrée mais, par chance, il a plus d’une balle ; le chargeur y passe, en mode automatique. Jamais vu un mec recharger aussi vite ! C’est du solide, aucun doute, mais ceci mis à part, il n’a pas deux sous de malice.
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Qu’à cela ne tienne ! Ne suis-je pas dans l’enseignement ? Je reprends le B-A-BA et lui apprends la suite de C à Z ; me faut des semaines. Vous avez compris que ma relation avec Timagoo ...