1. L'apprentissage du futur mâle dominant par sa soeur. 2


    Datte: 08/03/2021, Catégories: Première fois Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    ... cul. Il comprend mon attente et le caresse avant de glisser un doigt dans mon anus qui accompagne en rythme l’énorme mandrin qui me pourfend à chaque fois que je me laisse retomber sur lui.
    
    Moi aussi je sens venir l’orgasme et quand il me dit qu’il va encore gicler, ce mot magique ouvre mes vannes.
    
    -Donne-moi ton sperme ! Rempli- moi la chatte !
    
    Nous jouissons ensemble dans une communion familiale.
    
    Il m’emplit de sperme chaud, ses jets viennent butter au fond de mon ventre, m’emplissant comme le vin remplit une bouteille, je ne sais plus où j’en suis. Quand enfin je reprends pied et me retire de son chibre, un bruit de ventouse emplit la chambre. Une bave blanche s’écoule de ma vulve.
    
    Encore heureux que je prenne la pilule !!!
    
    Je sers les cuisses et me déplace sur son corps pour lui donner ma chatte à lécher en embrassant sa peau en remontant. Il a compris ce que j’attends de lui et me dévore le minou avec sa longue langue inexperte. Je contacte ma matrice pour en expulser les restes de ma mouille et de son sperme qu’il est obligé de recueillir dans sa bouche.
    
    -Tu dois tout ...
    ... avaler, comme moi tout à l’heure !
    
    Il ne rechigne pas et absorbe avec application ce que ma chatte expulse en abondance.
    
    Je saisis à nouveau sa queue, la nettoie des miasmes de notre copulation. Je la sens battre en cadence à chaque contraction de ses muscles. Il rebande à nouveau…
    
    Je suis surprise de sa vigueur mais reprends vite mes esprits et le branle des deux mains pendant qu’il me dévore la chatte.
    
    Je suis comme une affamée devant un buffet de roi. Je varie les positions pour profiter le plus longtemps possible de ce gode de chair infatigable.
    
    Plus il me pénètre, plus je jouis. Sa source m'a gratifiée de copieuses giclées mais baisse de débit comme un ruisseau en été. Je n’ai jamais connu un amant aussi prolixe de son foutre. On dirait qu’il se vide d’un trop-plein de plusieurs années.
    
    Je suis épuisée, complètement fourbue car c’est moi qui ai œuvré une grande partie de la nuit. Je sanglote de bonheur mais suis complètement harassée du plaisir qu’il m’a donné.
    
    Je le détache enfin, l’embrasse et me sauve comme une voleuse (de sexe).
    
    Vivement demain soir…
    
    (À suivre) 
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