L'apprentissage du futur mâle dominant par sa soeur. 2
Datte: 08/03/2021,
Catégories:
Première fois
Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds
L’apprentissage du futur mâle dominant.
Mon poulain est monté comme un étalon. Première monte à cru.
-Ta bite est pleine de poils, je vais remédier à tout ça !
-Qu’entends-tu par là ? S’inquiète-t-il.
-Tu vas bientôt le savoir…
Je fais un détour par la salle de bain et ramène tout le nécessaire. Comme il est allongé sur le lit, les jambes maintenues écartées par les liens, il est à ma merci. Je mets de la mousse à raser sur sa bite et ses couilles et attaque le labeur. J’y vais très délicatement de peur de le couper avec le rasoir.
Je pars du pubis tout doucement en tenant fermement son pénis de l’autre main. Il bande toujours et ça me facilite le travail. Ma main gauche s’active tout au long de son gourdin que maitrise difficilement ma main droite.
Il ne bouge plus d’un poil, c’est le cas de le dire, quand je passe le fil du rasoir le long de ses couilles dodues. De minuscules gouttes de sang tachent la lame. Je m’applique craignant toujours un incident fatal mais tout ce passe bien. Raser ensuite les poils de son bas-ventre n’est plus qu’une rigolade.
Une fois totalement sans poil, je lave et essuie tout ça avant d’oindre d'huile parfumée son sexe et ses couilles.
Le résultat est admirable, son engin glabre et luisant parait encore plus énorme. L’ustensile idéal pour faire se pâmer les filles.
Il faut que je m’en occupe sur le champ,
Comme en transe, je saisis son sexe horriblement dressé, et passe à l’action en torturant le membre des deux ...
... mains, je coulisse la peau fine qui le couvre en partie et arrive à décalotter le gland.
Il se démène sous mon attaque, projette son bassin au devant de ma bouche en tirant sur ses liens. Mais comme je connais sa promptitude à atteindre l’orgasme, à la première alerte, au frémissement annonciateur de son plaisir, je cesse toute manipulation de son outil pour faire retomber la pression.
Je le regarde ensuite dans ses yeux implorant et approche ma bouche. Son gland enfle encore un peu mais ce n’est peut-être qu’une illusion dès que je le touche.
Je masturbe avec douceur ce sexe en rut sous ses gémissements de plus en plus forts. Il s’agite comme un beau diable quand je joue de mes doigts sur le sommet du chapeau de ce champignon inconnu qui suinte quelques gouttes, il fait de véritables bonds sur le lit.
J'essaie mais en vain de prendre d’une seule main cette prune violette mais elle est trop grosse pour que mes doigts l’encerclent.
Je me penche et gobe le gland énorme, les mâchoires distendues au maximum.
Il est si gros que je me venge en prenant ses boules douloureuses dans ma bouche, il gémit comme en souffrance. Délicatement je les caresse avec le bout de ma langue avant de les gober toutes les deux.
Je prends un mouchoir que je pose sur le gland violacé pour en frotter avec vivacité la partie la plus sensible de l’organe masculin. Il se cabre comme un animal, ruant criant, suppliant pour que j’arrête cette torture. Je dois arrêter souvent pour éviter ...