1. Prémices et Déité


    Datte: 08/03/2021, Catégories: fhh, extracon, cocus, inconnu, campagne, fsoumise, Masturbation yeuxbandés, extraconj, cocucont, Auteur: Calvaire, Source: Revebebe

    ... cheveux, tirant un peu plus pour la faire se cambrer.
    
    — Hummm, tu as un vrai cul de pute ! Je suis sûr que tu en es une.
    
    Il se plaça devant elle.
    
    — Enlève mon pantalon !
    
    Elle s’exécuta aussitôt. L’amant bandait fort sous son caleçon. L’offerte ne se fit pas prier : elle abaissa presque aussitôt le sous-vêtement pour dévoiler une verge raide et dure d’excitation. Elle s’en frotta le visage avant de lui avaler le gland, le lui léchant comme une chienne l’aurait fait avec sa gamelle, avide de son mets préféré.
    
    L’homme lui enfonça sa bite au fond de la gorge et la maintint quelques secondes comme ça avant de se retirer. Le mari commençait à se masturber, bandant lui aussi de savoir sa femme aussi salope. L’invité retira les derniers vêtements qu’il lui restait et les balança sur un coin du drap.
    
    — Lève-toi ! Va te mettre à côté de ton mec, les jambes écartées sur le capot.
    
    Au passage, le couple échangea un baiser rapide ; le mari glissa un mot à l’oreille de sa femme, que l’amant n’entendit pas.
    
    Nu dans cette semi-obscurité, il s’approcha de la femme. D’une main, il soupesa, malaxa, caressa et pinça les seins de la femme.
    
    Elle s’était complètement allongée sur le capot, le dos appuyé contre l’acier, les cuisses offertes à cet inconnu. Celui-ci voulait s’assurer d’abord qu’elle soit bien excitée et bien mouillée ; il s’agenouilla et commença à lui lécher la chatte. Elle réagit aussitôt, attrapant d’une main la tête de son lécheur pour qu’il lui mange le ...
    ... sexe. À ce moment-là, elle regardait son homme dans les yeux ; enivrée de plaisir, elle se sentait soumise totalement au plaisir de son homme. Elle avait envie d’être la plus grande chienne juste pour lui, d’être son jouet sexuel pour une vie, lui montrer qu’elle serait sa salope en s’offrant à d’autres.
    
    L’amant lécha, suça, doigta sa maîtresse d’un instant, maintenant bien mouillée. Il se releva.
    
    Passant d’abord deux doigts dans son sexe, puis trois et enfin quatre, il s’enfonça plus encore dans l’intimité de la femme. Au fur et à mesure, il allait plus profond et plus vite. Elle mordait ses lèvres de plaisir, se malaxant les seins d’une main et de l’autre branlant son mari.
    
    L’amant vint s’occuper de ses tétons en les mordillant et les léchant, s’occupant toujours aussi profondément de sa soumise. Le tunnel renvoyait l’écho de la jouissance féminine, décuplant les sons presque à l’infini. On aurait dit qu’une dizaine de lubriques salopes se faisaient prendre dans cette bouche sombre de briques et de métal.
    
    La main de l’homme allait à une allure folle dans ce con chaud et dégoulinant de suc sexuel, tellement vite et profond que la jouissance de la femme lui fit remonter le buste et s’accrocher au buste de son amant. Elle lui mordillait l’épaule de jouissance en regardant son mari, quand le plaisir ne lui faisait pas révulser les pupilles au ciel, fermant les paupières pour mieux visualiser son excitation.
    
    Le mari recula un peu, laissant les deux amants sur le ...