Eva Ukazovà, une institutrice dévergondée (2)
Datte: 07/03/2021,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: megalosex, Source: Xstory
... et qu’il n’y a plus personne.
Bozena revient un quart d’heure plus tard :
— J’ai fermé le portail d’entrée. Nous sortirons par la porte de derrière.
Puis elle ferme les rideaux de la fenêtre et vient m’embrasser. Un baiser langoureux, avide.
— Déshabille-toi ! Je te veux complètement nue !
Ça claque comme un ordre. Comme nous sommes au mois de décembre et il y a belle lurette que j’ai délaissé la minijupe pour le pantalon plus chaud, je vais me placer face au radiateur, heureusement, il est grand et chauffe bien, et je retire mes vêtements un à un, jusqu’à me retrouver nue. Bozena m’enveloppe du regard, un regard d’amoureuse. Elle me sourit :
— Tu es toujours aussi jolie ! Assieds-toi sur le bureau, à côté de moi.
Elle est assise sur son fauteuil et moi sur le bureau, à sa droite, tout près d’elle. Elle me caresse les cuisses, puis les hanches :
— Viens en face de moi !
Je me déplace un peu, m’asseyant sur le sous-main, écartant mes jambes de façon à les faire reposer sur les accoudoirs du fauteuil. Puis, plaçant ses mains derrière mes genoux, Bozena m’attire un peu plus à elle. Et, s’avançant aussi de son côté, elle a son visage tout près de mon sexe. Elle se met à le lécher, avec application. Je sens cette langue chaude, mouillée qui passe et repasse sur ma chatte, sur mon clitoris et je ne tarde pas à ressentir les premières vagues de plaisir :
— Tu aimes ça, n’est-ce pas, ma chérie ?
Elle me sent frémir et veut lire sur mon visage le ...
... plaisir qu’elle me donne :
— Ton adorable petite chatte, ton joli minou, ton con si mignon !
Elle ne se retient plus. En léchant mon sexe, elle semble être en adoration devant une icône. Elle lui adresse des compliments, où poésie et verdeur de langage se mélangent. Bientôt, toutes les parties de mon corps, elle les désignera en termes crus, qui seraient choquants dans la bouche d’une femme, mais qui auront le don de m’exciter, pour son plus grand plaisir.
Bozena me lèche la vulve, tâchant d’appuyer sa langue à chaque passage. Maintenant, je suis très excitée, d’autant plus que Bozena écarte les lèvres de ma vulve pour y enfoncer la pointe de sa langue. Cela fait presque le même effet qu’un pénis. Je commence à avoir chaud. Dans le bureau, le silence n’est brisé que par le bruit de lapement provoqué par la langue de Bozena dans ma chatte passablement mouillée et par celui de mes halètements et mes gémissements que je ne peux plus contrôler :
— Laisse-toi aller, ma chérie ! Je veux te donner tout le plaisir possible !
Maintenant, l’excitation est telle que, d’instinct, j’appuie sa tête contre ma vulve :
— Humm ! Oui ! Oui ! Ne t’arrête pas ! Oh ! Que c’est bon ! Que c’est bon !
Bozena me lape frénétiquement la vulve et le clitoris. Puis, sa main gauche lâche ma cuisse pour se plaquer sous mes fesses. Je comprends ce qu’elle veut. Je sens son doigt glisser sur ma raie et toucher mon petit trou. Sans préliminaires, je sens son doigt s’enfoncer dans mon cul et je ...