1. Eva Ukazovà, une institutrice dévergondée (2)


    Datte: 07/03/2021, Catégories: Lesbienne Auteur: megalosex, Source: Xstory

    ... Bozena chérie, lèche-moi le cul ... j’adore ça !
    
    — Tu crois que je peux ? Je n’ai pas l’habitude ... je voulais juste le voir et le toucher ...
    
    — Attends ! On va changer de position.
    
    Je me place contre la table puis je plaque mon torse sur la table, les jambes pendantes et les pieds au sol. Puis j’écarte les jambes autant que je peux. Bozena s’agenouille derrière moi sur un coussin. Son visage est à la même hauteur que mes fesses.
    
    — Tu vois bien mon petit trou ?
    
    — Oui ! Je le vois très bien ... Tu veux que ...
    
    — Ouiii ! Vas-y chérie !
    
    Bozena semble hésiter un bref instant, puis je sens sa langue mouillée qui lèche mon anus. C’est follement agréable :
    
    — Mets la pointe de ta langue dans le trou comme si tu voulais la faire entrer dedans !
    
    Elle le fait et ça devient carrément excitant au bout d’un moment :
    
    — Humm ! J’adore ... C’est délicieux ! Ne t’arrête pas !
    
    J’imagine la tête blonde de ma directrice collée à mes fesses, me léchant le cul avec application. Et ça m’excite :
    
    — Ouiiiii ! Comme ça ! Tu le fais bien ! Continue ! J’adore !
    
    Elle entend mes gémissements. Alors, elle s’applique encore plus. Et je pousse mes fesses contre cette langue chaude qui me titille le trou du cul. Je miaule de plaisir.
    
    Je ne sais pas combien de temps je suis restée ainsi ni combien de temps elle m’a léchée. Tout ce que je sais, c’est que, lorsque je me redresse, il y a une petite flaque de mouille sur le bord de la table.
    
    — Je t’ai bien excitée, ma ...
    ... chérie ?
    
    — Oh ! Oui ! Ouiiii ! Mon amour !
    
    Et j’ai pris Bozena dans mes bras et je lui donnais le baiser le plus fougueux que j’ai pu. Nos langues se sont mêlées, tout comme nos salives. Un baiser torride, interminable, tout en plaquant mon corps contre le sien.
    
    Puis il faut songer à rentrer. Et comme à chaque fois, Bozena me voit, à regret, me rhabiller. Après quoi, elle me ramène en voiture, à la maison.
    
    Vendredi 22 décembre 1973
    
    Dernier jour de classe avant les fêtes de fin d’année. Bozena m’a glissé un petit billet dès mon arrivée à l’école : «Viens me voir à mon bureau, après la classe ».Sans doute un changement. Depuis le début d’année scolaire, nous nous retrouvons chez elle, quasiment une fois par semaine. Quand j’entre dans son bureau, une douce chaleur m’envahit :
    
    — Mon mari est rentré dans la matinée, vers 11 h. Ce n’était pas prévu. Un changement dans son emploi du temps. J’ai vite réfléchi et lui ai répondu que je serai en retard, ayant des obligations à remplir pour ce dernier jour.
    
    Elle me regarde, les yeux brillants :
    
    — J’ai trop envie de toi pour te laisser partir ainsi ! Et puis, tu le sens, j’ai monté le chauffage ...
    
    — Bozena, il ne faudrait pas prendre de risques inutiles ...
    
    Elle sourit et fait un geste de dénégation de la main :
    
    — Ne t’inquiète pas pour cela. J’ai même trouvé quelqu’un de confiance pour te ramener chez toi. Tu n’auras pas à prendre le bus.
    
    Puis, elle se lève :
    
    — Je vais vérifier si tout est en ordre ...
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