1. Eva Ukazovà, une institutrice dévergondée (2)


    Datte: 07/03/2021, Catégories: Lesbienne Auteur: megalosex, Source: Xstory

    ... l’envie que je sois lejouet, l’instrument de ses fantasmes, sans aucun doute pervers. Et sans me l’avouer, je ressens une certaine excitation.
    
    Vendredi 22 septembre :
    
    Je sors de l’école et arrivée devant la maison de la directrice, j’ouvre discrètement le petit portail situé à l’arrière de la maison (elle m’a prêté une clé) et je me dissimule dans le jardin en l’attendant. Un jeu qui se répétera plusieurs fois tout au long de l’année scolaire.
    
    — Allons, rentre vite ! Il fait frais, n’est-ce pas ?
    
    Bozena passe devant moi et nous entrons dans sa maison. La première chose que je ressens, c’est une chaleur envahissante.
    
    — Comme tu es mon invitée, je suis venue vers 10 h pour monter le chauffage !
    
    Elle me sourit :
    
    — Tu sais pourquoi n’est-ce pas ?
    
    Je lui réponds par un sourire, tout en pensant : « Oh oui, je sais pourquoi ... »
    
    Elle va consulter le thermomètre :
    
    — Presque 26° ! Ça ira, n’est-ce pas ? Alors, déshabille-toi, ma chérie !
    
    Je me retrouve vite complètement nue, tout comme Bozena, d’ailleurs.
    
    Elle met la table, puis nous nous asseyons pour déjeuner. Cette fois, notre bavardage ne cesse pas : nous sommes heureuses d’être ensemble. Je souris quand je remarque le regard de Bozena posé sur mes seins :
    
    — Tu les aimes, n’est-ce pas ? Tu les trouves si beaux que ça ?
    
    — C’est sûr ! Et même, magnifiques, à mes yeux !
    
    Elle semble subjuguée par mes seins. Aussi, je la taquine un peu :
    
    — Tu es amoureuse de mes mamelles ? Tu les as ...
    ... appelées ainsi la dernière fois !
    
    Sans dire un mot, elle se lève et vient déposer un fougueux baiser sur chacun de mes seins.
    
    — Je les adore !
    
    Elle a dit cela avec une évidente sincérité.
    
    — Les tiens aussi sont beaux, Bozena chérie !
    
    Elle se penche au-dessus de moi et je dépose des baisers sur ses seins.
    
    Après le café et la cigarette, Bozena se dirige vers le fauteuil du salon et s’y assoit. Je m’apprête donc à m’asseoir dans l’autre, en face, quand elle me fait signe de venir sur ses genoux !
    
    — Je suis peut-être un peu ... lourde, non ?
    
    — Ne dis donc pas de sottises ! Viens sur les genoux de ta chérie !
    
    Je m’installe donc comme je peux, la tenant par le cou avec mon bras gauche. Puis, elle m’embrasse, me caresse les seins, le ventre :
    
    — J’ai très envie que tu me parles de quelqu’un que tu connais bien : ta sœur.
    
    Je souris intérieurement. J’imagine que notre conversation ne va pas se limiter à des banalités. Nous allons parler de choses intimes.
    
    — As-tu une photo d’elle, ici ? Tu serais gentille de me la montrer.
    
    — Je dois avoir ça dans mon sac.
    
    Je me lève et vais y chercher un étui garni de quelques photos :
    
    — Voilà ! –dis-je, en me réinstallant sur ses genoux : il y en a deux de mes parents, une de moi, et deux de ma sœur.
    
    Bozena ne s’attarde pas sur celles de mes parents, ni même de moi ... elle a l’original sur ses genoux. Elle prend les deux photos de Jana. Ces clichés, en couleur, ont été pris par Bob, cet été. On y voit Jana ...
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