1. Eva Ukazovà, une institutrice dévergondée (2)


    Datte: 07/03/2021, Catégories: Lesbienne Auteur: megalosex, Source: Xstory

    ... d’écarter les lèvres avec mes doigts, afin d’insérer ma langue à l’intérieur. Je sens Bozena tressaillir :
    
    — Hmm ! Tu sais t’y prendre ! J’adore ça ! Continue, c’est un vrai délice !
    
    Je pousse ma langue à l’intérieur autant que je peux. Puis, ayant bien repéré le clitoris, je passe des coups de langue bien appuyés dessus. Bozena commence à ressentir les effets de ce cunnilingus d’enfer : je la sens frissonner de plaisir, puis elle se met à gémir doucement. Je dois bien l’exciter, puisqu’à un moment, je sens ses mains appuyées sur ma nuque, plaquant ainsi mon visage contre sa chatte dans un geste impulsif. Un instant gênée, je reprends le léchage. Maintenant, les gémissements de Bozena enflent. En levant les yeux vers elle, je la vois les yeux mi-clos, la bouche entrouverte. Je veux lui procurer un maximum de jouissance. Je tente de glisser une main sur ses fesses :
    
    — Que veux-tu faire ? -dit-elle- entre deux halètements.
    
    — Laisse-moi faire, et avance-toi un peu, ma chérie !
    
    Conquise, elle se détache un peu de la table, tandis que je glisse un doigt de ma main droite dans la raie de ses fesses. Je finis par repérer sonpetit trou. D’abord, je tapote les bords. Pas facile quand je dois continuer le léchage. Puis j’enfonce un bout de l’index à l’intérieur. Je sens Bozena se contracter :
    
    — Mais qu’est-ce que tu fais là ?
    
    Bozena gémit ; elle doit sentir mon doigt remuer dans son anus. Je lèche de façon plus appuyée sa vulve et son clitoris, tandis que j’enfonce ...
    ... tout l’index dans son petit trou et commence à faire des allers-retours. Les gémissements de Bozena deviennent plaintifs. Elle se tortille, ondule des hanches, tellement excitée qu’elle ne se maîtrise plus. Maintenant, elle a une respiration haletante, rauque. Elle murmure des mots inintelligibles. Sa vulve sécrète une cyprine crémeuse que je lèche avidement. Puis je sens que son ventre se contracte. Elle a une sorte de hoquet. Elle glousse et je sens sa cyprine dégouliner sur mes lèvres. Bozena, ma directrice, a joui sous ma langue.
    
    Elle reste un moment adossée à la table, se tenant appuyée avec les mains, le temps qu’elle reprenne ses esprits :
    
    — C’est fou ce que tu m’as fait jouir ! J’ai adoré ... adoré ! Et d’avoir mis ton doigt dans mon ... petit trou ... je pensais que c’était sale ... et c’est terriblement excitant ! Tu connais plus de choses que moi ! Petite dévergondée !
    
    Elle me sourit. Puis, me prenant dans ses bras, elle me donne un baiser fougueux, torride, un baiser qui a le goût de sa cyprine que j’ai léchée. Mais qu’elle accepte sans rechigner.
    
    — Va te nettoyer dans la salle de bain et rhabille-toi ; je vais te ramener chez toi.
    
    J’y vais et quand j’en ressors, habillée, elle me lance :
    
    — Dommage, je te préfère vraiment toute nue !
    
    Avant d’ajouter, dans un élan de passion :
    
    — Je suis heureuse de t’avoir découverte. Tu vas vraiment pouvoir réaliser mes fantasmes. Je le sens, tu sais, chérie !
    
    Dans son regard brillant, je sens le désir, ...
«1234...9»