Kamila Aimait La Peinture - Histoires de Sexe

Kamila Aimait La Peinture

... elle me demandait désormais de racler la crème non avec la cuillère mais avec ma langue. Ce que je faisais avec gourmandise. Nous devenions très complices jour après jour.

Ma peinture avançait très lentement même si je parvenais à dessiner des lignes évocatrices. Ma langue travaillait plus que mon pinceau.

Je passai la majeure partie de la séance à lécher Kamila...

Elle me somma de sortir ma queue du pantalon et de la laisser ainsi, verticale, près de son vagin rougi par le désir... je dessinais au plus près de son corps sensuel.

Elle posait de temps à autre sa main sur mon gland, s'amusait à tenir ma hampe entre ses deux pieds, cela la fit jouir de caresser ma queue gorgée de sève, ses jambes écartées et offertes.

Et puis elle s'assit, enroulée dans la gaze bleutée, encore toute inondée, et engouffra ma tige dans sa bouche. Ses mains et sa bouche me firent jouir en quelques minutes. Je laissai tomber mon pinceau et ma palette, pris par une onde de plaisir. Mon sperme explosa sur la langue de Kamila et au fond de sa bouche. Elle m'avalait goûlument.

Je lui déclarai ma flamme, après cet orgasme rapide, et elle répondit, malicieuse, que je devais d'abord me concentrer sur mon art.

6- Le fin mot de l'histoire

Les aquarelles se succédaient à grande vitesse. Comme les fusains. J'avais dessiné ses seins, son cul, ses fesses, son dos et ses hanches, ses beaux cheveux noirs.

Nos séances n'étaient plus que des jeux érotiques.

Nous passions nos journées à ...

... peindre et à nous embrasser. J'étais amoureux d'elle. Nombre d'esquisses restaient inachevées.

Je mêlais son foutre à ma peinture pour réaliser de nouvelles oeuvres dont le secret de fabrication nous appartiendrait.

Je peignais désormais la queue à l'air et Kamila pouvait ainsi vérifier que mon désir ne chutait jamais.

Et puis régulièrement, elle engloutissait ma tige pleine de sève et je continuais mes fusains.

Tout en peignant ses rondeurs sensuelles, je m'imaginais plongeant dans la toison noire, allant et venant dans le sexe de mon modèle, y jouissant comme un tube à peinture qu'on presse pour en expulser toute la pâte.

A la fin de la journée, je réussis enfin à finir le tableau principal, Kamila allongée dans sa gaze bleutée, un sein découverte et une jambe sur le dossier du canapé. Elle, au même moment, était pourtant nue, alanguie, le sexe ouvert, collé contre moi, à m'embrasser...

Puis, je voulus faire un fusain de son visage frais et innocent..

Elle me demanda : "Alain, est-ce une preuve d'amour que de peindre ainsi son modèle?". Je répondis que oui.

" Quand nous aurons fait l'amour pour la première fois, je cesserai d'être votre modèle, c'est ça?! "

Je répondis que non bien sûr...

Avec un sourire frais, elle s'assit sur le canapé, releva ses genoux et se mit alors à me tutoyer : "Alors, fais mon portrait!"

Je réalisai un portrait empli de sérénité, de calme, de paix, de joie. Ses yeux marrons et profonds, sa bouche coquine, son nez ...