Kamila Aimait La Peinture - Histoires de Sexe

Kamila Aimait La Peinture

J'ai eu la chance, il y a dix ans, de rencontrer Kamila dans mon atelier. Elle était venue poser comme de nombreuses jeunes femmes qui voulaient un peu d'argent pour financer leurs études.

Je réalisais à cette époque des études diverses et variées sur le corps féminin.

Lors d'une même séance, je travaillais l'aquarelle ou l'huile pour une scène d'ensemble et le fusain pour illustrer un sein, une croupe, une épaule découverte, une bouche voluptueuse, un pied etc.

1-la première séance :

Ce jour là, Kamila est entrée timidement dans mon atelier. Son visage m'a plu de suite, avec un regard intense et profond. On s'est présenté, et je lui ai demandé de se déshabiller derrière le paravent chinois où l'attendait une longue gaze transparente en soie, légèrement bleutée.

Elle s'est allongée alors sur le canapé en cuir rouge qui me servait pour les premières séances. Les modèles y étaient à l'aise. Il importait de les détendre rapidement pour que la pose fût décontractée et naturelle.

Je devinais le corps sublime de Kamila sous la soie bleue : des seins de taille moyenne, mais d'une forme fruitière très élégante, la plupart y voyant deux jolies petites poires fraîches et avenantes ; un ventre légèrement rebondi, très féminin, des hanches dont la sensualité était due à la fois à sa jeunesse mais aussi à leur texture un peu grasse, ou plutôt à la souplesse de ses chairs, ce qui la rendait très désirable, une taille mince, des épaules délicates et un cou haut perché. ...

... Ses yeux marrons étaient profonds, sa bouche ourlée par des lèvres fines et rouges.

Elle avait des jambes fines mais musclées. Lors de cette première séance, je n'eus pas l'occasion d'admirer sa croupe charnue ni le sillon qui creusait son dos, le long de sa colonne vertébrale, de ses fesses à sa nuque.

Kamila était assise désormais sur le canapé, ses cuisses galbées et ses genoux ramenés contre sa poitrine dénudée telle la Danaé de Gustav Klimt. A ma demande, elle avait fait glisser la gaze sur le côté dévoilant un sein absolument sensuel. Je remarquai immédiatement que sa pointe était hérissée mais cela arrivait souvent chez les modèles qui vivaient intensément ces longs moments de pose. Le regard du peintre leur faisait de l'effet... Ou plus sûrement, l'idée d'offrir leur corps, de manière détachée, du moins en apparence, d'offrir leur féminité à l'art.

Je dessinais alors sa cuisse gauche, musclée, et ses pieds entrecroisées. Elle était de profil et ses jolis seins me donnèrent envie de les immortaliser dans un fusain très sobre. Je ne savais pas si je la reverrais une deuxième fois, et je voulais garder un souvenir de ces deux poires très féminines, que j'imaginais un jour laissant sourdre un lait chaud et nourrissant.

Son souffle était assez lourd, je voyais bien alors qu'elle se laissait aller, qu'elle aimait montrer son corps à un inconnu, qu'elle vibrait en offrant sa beauté et sa féminité à un homme. La pointe de ses seins était dure et sa poitrine se ...