1. Un homme, une femme...


    Datte: 06/03/2021, Catégories: h, fh, freresoeur, dispute, vidéox, Oral pénétratio, Auteur: TomaN7, Source: Revebebe

    ... restera gravé dans ma mémoire, mais cela me semble une éternité. Je suis de nouveau dans tous mes états, aucun stress cette fois, mais je suis tout de même fébrile, des palpitations me transpercent le cœur tellement j’ai hâte de la serrer de nouveau dans mes bras. Je ne peux qu’attendre, assis sur le canapé de mon deux-pièces, le regard fixé sur l’écran d’ordinateur sur lequel se déroule un programme télé que je ne peux pas suivre.
    
    Je regarde toutes les minutes le cadran lumineux de mon téléphone portable, comme si en le regardant, cela obligeait le temps à passer plus vite. Plus que vingt minutes à l’attendre, enfin si elle n’est pas en retard. Cette fois je ne peux pas faire autre chose qu’attendre, car c’est elle qui vient chez moi. Mais c’est tellement pénible !
    
    La sonnerie de mon téléphone me fait sursauter. C’est elle ! Oh non, j’espère qu’elle n’a pas un empêchement de dernière minute ! Je décroche en tremblant, dis un « allo » plein de crainte.
    
    — Salut mon chéri, tu vas bien ?
    — Oui, oui, ça va très bien…
    — Je suis désolé, je suis un peu en avance, je n’ai pas pu attendre plus longtemps avant de te revoir…
    — Tu es en bas ?
    — Oui…
    
    Je me lève d’un coup, m’enfonce un coin de table dans les reins tellement je me précipite vers la porte. Ça me fait mal, mais qu’importe, je me rue dans l’escalier pour aller lui ouvrir. Elle est bien là !
    
    — Eh bien, tu as fait vite !
    
    Je ne réponds pas, je n’en peux plus : je la serre dans mes bras de toutes mes ...
    ... forces.
    
    — Eh ! Doucement…
    
    Mais je sais, je sens qu’elle a autant besoin de moi que j’ai besoin d’elle. Nous montons rapidement à mon appartement, nous nous précipitons dans la chambre. Nos vêtements sont vite arrachés de nos corps, nos langues s’entremêlent, nos mains possèdent le corps de l’autre.
    
    — Prends-moi… me supplie-t-elle.
    
    Mon sexe est tendu à l’extrême. Je l’allonge sur le lit, elle écarte largement les jambes, sa vulve est ouverte, luisante. Je me place contre elle, la prends par la nuque, l’embrasse fermement, sauvagement. Nos sexes sont l’un contre l’autre. D’un mouvement du bassin, je m’enfonce violemment en elle ; elle crie son bonheur d’être enfin remplie de ma queue dure. Je ne me contrôle plus, ou plutôt nous nous contrôlons plus. Tout n’est que violence, je la pilonne rapidement et profondément. Ça la fait déjanter, elle me serre encore plus, m’enfonce ses ongles dans mon dos. Ça me fait mal, mais aucune importance, je suis animal. Mon sexe dilaté est dans un univers chaud et liquide, je ne sens pas les parois de son vagin, que je pistonne pourtant avec force. Mon sexe est sur le point d’exploser, j’accélère encore plus, ce qui la fait délirer, elle se tire les cheveux de plaisir. Je sens mon orgasme me venir du plus profond de mes tripes, il parcourt mon corps avec une violence qui fait tétaniser tous mes muscles. Un immense frisson me glace le dos lorsque j’éjecte dans un hurlement de grosses rasades de sperme au plus profond de son vagin.
    
    Je reste ...
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