1. Un homme, une femme...


    Datte: 06/03/2021, Catégories: h, fh, freresoeur, dispute, vidéox, Oral pénétratio, Auteur: TomaN7, Source: Revebebe

    ... découvrir mes goûts musicaux, puis je lui ai joué quelques morceaux au piano. Que souhaitait-elle ? A-t-elle été déçue de moi, ou au contraire soulagée que je ne profite pas de son relâchement pour lui faire des avances ? Bref, comment me voit-elle ? Comme un meilleur ami, un confident, une personne de confiance ? Comme un amant, une relation temporaire, ou même l’homme de sa vie ?
    
    Je regarde l’heure. Je vais y aller tranquillement, peut-être quelque chose me retardera et me fera arriver à l’heure ? Au pire si je suis trop en avance, je pourrais visiter son quartier, marcher dans la rue sera toujours mieux que faire les cent pas dans mon studio.
    
    ***
    
    Nous sommes de nouveau tous les deux chez moi, sur mon lit. La chaîne passe l’album que j’ai acheté après notre séance de cinéma. Cependant je ne l’écoute pas, les sons électroniques atteignent seulement mes tympans, sans que j’y prenne garde. Je suis étendu à côté d’elle, je respire son parfum, silencieusement. De nouveau, je l’ai invitée boire un verre chez moi, de nouveau elle a accepté, de nouveau elle s’est installée sur le lit. J’ai maintenant la quasi certitude que ce n’était pas juste de la fatigue, la dernière fois, pourtant je ne parviens pas à poser la main sur elle, comme si sa peau allait me brûler à travers son jean, comme si ce contact allait abîmer sa beauté, comme une profanation. J’ai tellement envie de la serrer dans mes bras !
    
    J’effleure sa cuisse gauche du bout des doigts, je m’attends à ce ...
    ... qu’elle la retire, voire qu’elle se relève, outrée, m’envoyant une gifle. Mais non, elle ne réagit pas, ne bouge même pas d’un sourcil. Je caresse doucement sa cuisse, d’abord simplement avec le dessus de mes doigts, puis je pose ma paume, continue mes lents mouvements, en élargissant peu à peu la surface caressée. L’autre cuisse a le droit à autant d’attention ; je vois Marie respirer plus profondément, nous nous regardons tendrement, chacun concentré sur ce contact sur sa cuisse. Je la quitte, pose ma main sur son ventre, au niveau du nombril. Je découvre cette zone plate et légèrement musclée, le plus lentement possible.
    
    Je suis tellement bien, tellement heureux ! Mes sensations me paraissent tellement fortes et saines ! Pas d’excitation, peut-être parce que le corps que je suis en train de découvrir me paraît beaucoup trop parfait pour être ouvert à mes désirs. Peut-être est-ce pour cela que je ne peux pas toucher sa jolie petite poitrine, que je me sens obligé de lever à nouveau ma main pour atteindre son cou, comme je l’ai fait pour atteindre son ventre. Je n’arrive pas à croire que c’est bien ma main qui parcourt doucement le parfait arrondi de son visage, que ce sont mes doigts qui lissent ses longs cheveux noirs, magnifiques.
    
    Je m’appuie sur le côté, l’embrasse d’un timide baiser sur sa tempe, puis petit à petit, je parcours sa joue de mes lèvres. Sa bouche entrouverte m’appelle silencieusement, mais elle ne fait aucun geste pour que je lui offre le baiser qu’elle ...
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