1. Un amour de filleule


    Datte: 05/03/2021, Catégories: f, h, fh, hplusag, jeunes, collection, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation rasage, Oral pénétratio, fsodo, BDSM / Fétichisme délire, Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... glisser sur la peau – provoquant ainsi un échauffement d’autant plus désagréable qu’il est mal placé – ou de pincer par exemple une lèvre. Là, le spectacle qu’elle m’offre involontairement vaut son pesant de bananes : sa chatte, bien qu’à peine distendue par les cordes, s’ouvre et se ferme telle la bouche d’un poisson hors de l’eau. Et pour faire bonne mesure, tout cela s’accompagne d’un filet de mouille qui commence à perler sur le bord de ses lèvres.
    
    Pour la première fois depuis le début de ces aventures, j’ai le sang qui tape dans mes tempes. Surtout, ne pas le montrer, ne même pas lui donner l’impression qu’elle serait capable de me faire craquer… et pourtant je suis à deux doigts de flancher. Non, véritablement, cette fois-ci il faut vraiment que je prenne sur moi ou je vais la punaiser dans le canapé ; et la sensation est d’autant plus terrible que je sais qu’elle n’attend que cela.
    
    Essayant tant bien que mal de calmer ma respiration, je passe derrière elle et je reprends la séance de ligotage esthétique. Un aller, un retour, quelques nœuds aux bons endroits et sa poitrine, haute et fière comme jamais, paraît désormais enchâssée dans un écrin de dentelle un peu particulier. J’en suis par contre à faire très attention à ce que je fais, ma belle filleule semblant apprécier que tout cela soit extrêmement serré…
    
    — Surtout, n’oublie pas : si cela ne va pas, tu ouvres les mains ou tu secoues la tête. Ne va pas nous faire un malaise à trop vouloir jouer avec le ...
    ... feu…
    
    Bon, en vérité, je pense que je suis assez loin des limites acceptables. J’ai déjà vu des filles dont les seins devenaient bleus à force d’être comprimés, ou dont les liens laissaient de longs hématomes des jours durant, mais qui en réclamaient encore. Là, j’en suis certain, une demi-heure après, on ne verra plus rien.
    
    — Je t’attache les mains dans le dos ou tu ne préfères pas ?
    
    Bien entendu, cornichon que je suis, je comprends très vite qu’elle a beau opiner du chef, je ne sais absolument pas ce que cela veut dire !
    
    — Je t’attache les mains ?
    
    Elle acquiesce de la tête.
    
    — Dans le dos ?
    
    Nouveau signe de tête, accompagné d’un sourire gourmand. Elle se mord la lèvre, dans une invite silencieuse mais sacrément explicite. Elle est là, devant moi, aussi nue que délicieusement ravissante dans sa parure de cordes, et j’essaie de chasser de mon esprit qu’elle est à ma merci. Sans hâte, je la pousse doucement jusqu’au canapé où je la prends dans mes bras pour l’y allonger. Je sens son souffle atrocement tiède dans mon cou…
    
    Elle attend, immobile et suppliante, les jambes légèrement écartées. Pour une fois, elle ne me provoque pas intentionnellement ; c’est peut-être pour cela que je suis dans cet état. Je pose alors le bout de mes doigts sur sa poitrine. Je sens battre son cœur… Je l’effleure doucement, prenant le temps d’explorer chaque centimètre de sa peau, alternant douceur pure et légères griffures ; son souffle s’accélère au fur et à mesure que je m’approche ...
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