1. Un amour de filleule


    Datte: 05/03/2021, Catégories: f, h, fh, hplusag, jeunes, collection, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation rasage, Oral pénétratio, fsodo, BDSM / Fétichisme délire, Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... vie, et je m’en voudrais de la priver aussi longtemps de cette formidable opportunité.
    
    L’acheter, d’accord, mais pour en faire quoi ? Même nue et offerte au bout de sa chaîne, elle reste ma filleule et je ne la toucherai pas. J’en suis à me poser mille questions lorsque, dans l’autre allée, une jeune femme passe, accompagnée d’un superbe étalon. Une idée traverse alors mon esprit… Bon sang, mais c’est bien sûr, comme on disait à une époque !
    
    — C’est d’accord, je vous la prends. Redonnez-moi le contrat, s’il vous plaît, et veuillez temporairement désactiver son collier. J’ai quelque chose à lui dire et je veux qu’elle puisse me répondre.
    
    L’autre tape sur un clavier d’ordinateur et une diode verte s’allume sur le collier en question.
    
    — Je ne sais pas ce que tu as dans la tête, mais sache que je n’ai aucunement l’intention de changer d’avis. Par contre, toi, en signant ce contrat, tu sais à quoi tu t’exposes.
    
    Bien qu’elle ait la possibilité de s’exprimer, elle ne prononce pas un mot. Pour toute réponse, j’ai droit à un sourire narquois qui en dit bien plus que tout « on va voir ce que l’on va voir, et tu vas craquer… »
    
    Dix minutes plus tard, tout est en ordre : virement de compte à compte et papiers signés. Encore une fois, au Grand Marché, l’argent est un moyen, pas une finalité ; cela n’a donc strictement rien à voir avec de la prostitution. Personne ne vient ici pour arrondir des fins de mois… Je détache alors Natacha de la grille de son enclos.
    
    — Te ...
    ... voici à moi, désormais. Dans un premier temps, il est hors de question que tu restes pieds nus. Ensuite, nous irons peaufiner ta beauté, et il sera temps d’aller casser une petite graine.
    
    Entre le box où nous nous trouvons et ce que je cherche, il y a toute l’expo à traverser. Certaines allées sont désertes, d’autres nettement moins, et il va sans dire que je prends un malin plaisir à choisir celles où les regroupements sont les plus nombreux. Natacha me suit docilement, bien évidement toujours nue et dans le plus grand silence. J’ai maintes fois été moi-même à l’autre bout de cette chaîne, et je connais très bien l’état d’esprit qui est le vôtre en pareil cas : le plaisir se mêle à la honte, la fierté le dispute à la gêne. On se sent observé, dévisagé, détaillé comme le serait un animal dont on a d’ailleurs plus ou moins accepté le statut. C’est une sensation au moins aussi troublante qu’excitante, et qu’il est extrêmement difficile d’imaginer lorsque l’on ne l’a pas vécue de l’intérieur…
    
    Ah, enfin, voici le vendeur de chaussures. Des étagères, des dizaines de modèles d’escarpins, de talons aiguilles et de bottes, le tout dans des finitions et des hauteurs spectaculaires. L’une des règles du jeu consiste à ne jamais demander l’avis du soumis ; aussi est-ce moi seul qui choisit une paire dont les talons ne doivent pas être très loin des vingt centimètres, sans oublier la plate-forme conséquente.
    
    Je ne me suis même pas inquiété de savoir si, oui ou non, Natacha savait ...
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