La maîtresse vierge - Histoires de Sexe

La maîtresse vierge

... toujours, dis ? Tu ne me laisseras pas tomber, hein ?

Elle le couvrait de baisers et s’agrippait à lui comme à une bouée. Elle poussait de petits sanglots qui l’attendrirent complètement. Non bien sûr, il ne la quitterait pas. Et puis quelle raison aurait-il eu de négliger une maîtresse aussi volcanique. De plus le déballage de fétichisme auquel il avait eu droit était la meilleure garantie de la confidentialité dans laquelle ils voulaient maintenir leur relation. Il avait le sentiment d’être au début d’une relation exclusive et sulfureuse qui valait la peine d’être vécue.

Dans l’immédiat, il se retrouvait une fois de plus les bourses gonflées à bloc à force d’avoir eu des érections. Se redressant sur le coude, il passa sa main sur ses glandes douloureuse où la main de Béatrice le rejoignit. Elle malaxa les testicules, la verge de Daniel sans ménagement.

— Eh ! C’est fragile ! lança-t-il.
— Oh ! Pauvre petite nature, je vais t’arranger ça moi !

Elle se releva d’un bond et le força à s’allonger sur le dos. Du bout du pied elle tenta maladroitement d’ouvrir le peignoir de son partenaire, mais celui-ci lui attrapa le pied.

— Laisse-toi faire ! insista-t-elle

Et elle atteignit les parties génitales de Daniel en les bousculant au passage. Elle passa la pointe de son sabot sous les testicules puis joua à presser la verge gonflée sur le ventre de son partenaire. Daniel crut exploser à plusieurs reprises. Elle fit jouer la semelle sur le gland assombri par ...

... l’afflux de sang en le provoquant :

— Tu es mon esclave d’amour, je suis ta maîtresse cruelle.

L’esclave en question n’étant pas habitué à pareil traitement ahanait sous les assauts répétés.

— Tu vas voir comme c’est bon !

Sans crier gare, elle s’assit alors entre les jambes entrouvertes de son partenaire, emprisonna sa verge entre ses sabots tout en enfonçant ses testicules. Elle eut à peine le temps d’attraper la hampe de la verge de son partenaire qu’un geyser visqueux s’en échappa par longues saccades.

— Ouaaaah ! s’exclama-t-elle en prenant un peu de recul tandis qu’il reprenait son souffle à pleine bouche en se redressant sur les coudes.
— Tu vas me rendre dingue aussi.

Béatrice aussi s’était redressée sur les coudes

— Ça t’inquiète ? Tu as peur ?
— Non, mais tu m’as drôlement bien caché ton jeu ! fit-il en épongeant le sperme répandu.

Ils s’étaient assis côte à côte et se tenaient par les épaules.

— Ce n’est pas un jeu, à présent je suis ta maîtresse. C’est à cause de toi que tout ça a commencé. Nous irons ensemble jusqu’au bout du parcours initiatique, commença-t-elle sur le ton de la confidence.
— Et il est où le bout ?
— Là où il n’y a plus de complexes, plus de tabous liés au corps en général et au sexe en particulier.
— Ça risque de prendre du temps !
— Ça m’est égal, je ne suis pas pressée, et en plus j’ai trouvé de bonnes chaussures de marche, fit-elle en caressant ses sabots.
— Je n’en reviens pas que tu te sois décidée à porter ces ...