1. La maîtresse vierge


    Datte: 04/03/2021, Catégories: f, fh, ffh, bizarre, vacances, amour, pied, chaussures, Masturbation intermast, fgode, préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, init, Auteur: Joker, Source: Revebebe

    ... Daniel dans la glace, elle lui tendit le sabot et d’une voix calme demanda :
    
    — S’il te plaît…
    — Oui, ça me plaît.
    
    Daniel s’exécuta et prit le sabot par le talon. Elle écarta lentement les jambes et commença à onduler de tout son corps. Béatrice fut parcourue de sorte de petits frissons lorsqu’il approcha le sabot de son pubis. Elle s’inclina encore plus en arrière en appui sur son partenaire, ce qui eut pour effet de dégager encore plus son sexe. Dans la glace, Daniel pouvait parfaitement contrôler la trajectoire du sabot dans le sillon largement ouvert. En faisant monter son regard, il pouvait voir la bouche entrouverte de Béatrice aspirant de longues goulées d’air, et sa poitrine se soulever en cadence ; ses yeux étaient clos et ses traits légèrement tirés. Le cuir du sabot devint luisant au fur et à mesure qu’il le faisait glisser de tout son long en maintenant une légère pression contre la vulve offerte. Les mains de Béatrice caressaient ses propres cuisses, les cuisses de Daniel tandis que le rythme des frictions s’accélérait.
    
    Comme si elle s’était réveillée d’une longue et paisible nuit, elle entrouvrit les yeux, et offrit à son partenaire un timide sourire :
    
    — Plus fort s’il te plaît, plus fort.
    
    Elle rejoint les mains de Daniel sur son sabot et le bascula, la pointe légèrement basculée vers le haut. Sous les yeux écarquillés de Daniel, elle agressa littéralement son clitoris. Daniel resta un moment interdit face à la vigueur de son geste et dut réagir ...
    ... lorsque Béatrice les dents serrées lui conseilla :
    
    — Vas-y, ne sois pas timide !
    
    Elle se renversa complètement en arrière, le dos cambré sur une jambe de Daniel. Il lui reprit le sabot des mains et dirigeant précisément son extrémité vers le clitoris déjà endolori, il commença à lui asséner de petits coups méthodiques, à le faire rouler hors de son capuchon de chair. Quasi insensible aux petits cris de Béatrice, il fit une courte pause pendant laquelle il dégagea les grandes lèvres et les maintint écartées entre deux doigts, et effleurant la pointe du sabot du clitoris de Béatrice lui glissa :
    
    — Prête ?
    
    Question à laquelle il ne reçut pour toute réponse que la morsure des ongles de Béatrice dans ses côtes. Sans plus aucun ménagement, son index agressa la partie haute de la vulve, puis fit rouler le clitoris en de rapides rotations. Sous l’effet de ce traitement radical, Béatrice hurla au bout de quelques secondes, agrippa la main de Daniel pour en accompagner le mouvement aux limites de sa résistance physique puis la rejeta vivement tandis que son corps était encore agité de spasmes. Daniel la couvrit du peignoir tandis qu’elle gisait, insensible à la fraîcheur du sol carrelé. Elle reprit lentement son souffle pendant que son partenaire la veillait du regard.
    
    — Merci, mon bel amant, lâcha-t-elle enfin lorsque ses yeux s’entrouvrirent sur le visage qui la contemplait.
    
    Elle l’attira à elle et ils roulèrent dans une inséparable étreinte.
    
    — Tu me caresseras ...
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