La maîtresse vierge
Datte: 04/03/2021,
Catégories:
f,
fh,
ffh,
bizarre,
vacances,
amour,
pied,
chaussures,
Masturbation
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Auteur: Joker, Source: Revebebe
... dans ses mains. Elle observa son cou, ses épaules ; abaissant les mains elle découvrit lentement ses mamelons hauts perchés. Ils n’étaient pas très gros, mais suffisamment fermes et élastiques pour qu’elle puisse de temps en temps les sentir danser libres et simplement couverts d’une chemisette. Elle avait le ventre encore à peine bombé des petites filles et les hanches plutôt étroites. Des jambes joliment galbées supportaient un corps qu’elle se surprenait à ausculter méthodiquement et entièrement pour la première fois. Comme elle détaillait ses pieds, elle accrocha du regard les sabots renversés. Elle se jucha sur les semelles de bois et revint à la glace pour étudier l’effet. La plante de ses pieds épousant la semelle orthopédique lui procurait une délicieuse sensation de confort et de chaleur. En se contorsionnant, elle s’observa de dos et trouva que tout compte fait, elle n’était pas si mal faite ! Poussant l’inspection plus avant elle se campa très près de la glace, les jambes écartées et fit glisser ses doigts dans le discret velours de son pubis. Avec délicatesse elle écarta les barrières charnues de son intimité ultime, jusqu’au retranchement de son clitoris. Entre deux doigts, elle le fit saillir pour l’observer à l’envi. Elle porta un doigt à ses lèvres l’humecta pour le porter sur la perle dilatée au creux de son sexe. Béatrice la prude devenait Béatrice la pucelle impudique. Finis les tabous, les frustrations, elle serait explosive, s’enivrerait de plaisir : ...
... c’était sa décision, sa nouvelle force et sa joie. Se regardant fixement dans la glace, elle plongea son doigt humide dans le vagin, se pénétra et remonta le doigt à ses lèvres :
— Suce ma chérie, suce, c’est bon, c’est bien, c’est toi qui a raison, se dit-elle, va jusqu’au bout de tes phantasmes, vis ta vie de femme !
Se défiant elle-même, elle se déchaussa et glissa sur les genoux ; assise sur ses talons, fixant la glace elle voyait la nouvelle femme qu’elle était se masturber tranquillement. Puis elle attrapa son rasoir ordinairement réservé à ses jambes, changea la lame et entreprit d’éclaircir sa toison pubienne. Ce ne fut pas très long, car le système pileux de Béatrice n’était pas très développé. Tout au plus égalisa-t-elle l’épaisseur et la forme de la barre brune qui masquait à peine ses lèvres. Elle rougit jusqu’aux oreilles en s’imaginant se raser complètement, mais, non, pas maintenant, plus tard, peut-être. À la totale confusion de ses pensées vint s’ajouter un tiraillement de l’estomac : midi !
Acceptant mieux sa nouvelle sensualité, il fallait qu’elle se reprenne en main, et Béatrice s’activa à ranger la salle de bain, sa chambre et fila à la cuisine se préparer un solide déjeuner. Encore étourdie de plaisirs et délicieusement douloureuse dans son intimité, elle échafaudait des projets d’avenir qui laisseraient place à des sentiments inexplorés. Ainsi planifiait-elle que certains soirs seraient consacrés aux plaisirs égoïstes de la chair. Ces jours-là, ...