1. Hélène (36)


    Datte: 04/03/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: rouge22, Source: Xstory

    ... signe d’approcher. Elle commence à tourner autour de moi.
    
    J’ai bien retenu le conseil de Pierre. Comme un boxeur, j’avance sur Béatrice. Elle lance son bras, mais maladresse ou erreur de visée, la mèche s’enroule autour de mon corset, mais ne me blesse pas.
    
    A courte distance, le fouet est inefficace, mon adversaire n’a plus le temps de réarmer son coup. Je réponds en visant la poitrine et les épaules. Elle pare de sa main gantée, mais je redouble et j’atteins ma cible.
    
    Elle accuse le coup. Elle ne s’attendait visiblement pas à ce que j’attaque.
    
    J’essaie de l’acculer dans la moitié du ring. Une ou deux fois, je me recule. C’est une erreur, car elle peut lancer son coup. Elle me touche aux seins, et aussi aux fesses.
    
    Et puis un instant d’inattention, je trébuche et je perds l’équilibre. J’essaie de me rattraper. Mais elle saute sur moi et me balance au sol. En essayant de me retenir, je laisse échapper mon martinet. Je tombe.
    
    C’est l’enfer. Béatrice s’est emparée de mon arme. Elle en a compris tous les avantages à courte distance. Elle me fouette sans même viser. J’essaye de m’échapper, en rampant, roulant sur moi-même, mais je m’épuise. Les serpents de cuir ne me laissent aucun répit.
    
    Une douleur effroyable me déchire. Beatrice a posé sa botte sur la crinière de mon plug. Et en me mettant à quatre pattes pour éviter les lanières, je l’ai arraché. J’ai l’impression que mon anus est déchiré. Je hurle, mais pas de pitié, la flagellation infernale ...
    ... continue.
    
    Et puis, dans un éclair, je vois le pied de ma bourrelle, enroulé dans une boucle. Je tire sur la corde, découvrant mes seins. Mon adversaire en profite et frappe ma poitrine à toute volée. Je crie, mais je ne lâche pas prise. Mieux encore, la douleur décuple mes forces.
    
    Béatrice titube, privée de ses appuis, elle bascule en arrière, le regard surpris. En tombant, pour amortir la chute, elle lâche ses armes.
    
    Je ne sais comment, en suivant le mouvement de ma tortionnaire, je me redresse et je me relève. Beatrice est à terre, elle roule sur elle-même, et récupère son fouet.
    
    Mais c’est trop tard, je bloque sa main sous ma botte, et de ma gauche, je ramasse mon chat. Pendant un instant, je lis la panique dans son regard.
    
    Pas de sentiment, j’arme mon bras.
    
    Je vise ses œufs sur le plat. Sa poitrine s’orne d’une résille rouge. Puis j’arrose son sexe découvert, elle replie ses cuisses pour protéger sa chatte. Je déplace mon pied et je la laisse se retourner, offrant son cul à mes lanières.
    
    Froidement, je flagelle ma victime, en faisant bien attention de ne pas commettre son erreur. J’alterne mes coups sur tout son corps. Elle ne crie plus, elle ne fait plus que gémir.
    
    Elle est sur le dos, je lève mon martinet. Elle n’essaie plus de se couvrir. Sur ses lèvres, je crois lire le mot pitié.
    
    Je lance mes lanières. Mais une main ferme bloque mon bras.
    
    — Arrête ! C’est bon, elle a son compte.
    
    Plus qu’à sa voix, c’est à sa douce odeur que je reconnais mon ...