Stricken
Datte: 03/03/2021,
Catégories:
médical,
uniforme,
laid(e)s,
sales,
zoo,
pastiche,
délire,
policier,
fantastiqu,
aventure,
fantastiq,
Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe
Résumé de l’épisode 1 : J’ai passé la journée avec Emmanuelle, une splendide jeune infirmière que j’ai rencontrée voici quelques jours. Mais le soir, après qu’on a pourtant déjà fait longuement l’amour, elle se révèle particulièrement insatiable de sexe, à tel point que je suis obligé de la repousser physiquement. Mais en tombant, elle se cogne contre une table. Je panique en découvrant qu’elle ne respire plus et appelle les pompiers, qui arrivent rapidement, accompagnés d’ambulanciers et de policiers. Et tandis qu’ils examinent la jeune femme, apparemment morte, celle-ci reprend soudain conscience, et, de nouveau en proie à d’intenses désirs charnels, se montre extrêmement agressive, mordant profondément plusieurs des secouristes. Et en peu de temps, ceux-ci semblent atteints de la même folie sexuelle et violente, assaillant à leur tour les autres urgentistes. À tel point que les quelques rescapés, apeurés et impuissants, sont obligés de s’enfuir. Je parviens à m’évader avec Charlène, Karl et Denis à bord d’un VSL.
Résumé de l’épisode 2 : Traversant les rues curieusement désertes, nous nous rendons rapidement au commissariat, que nous découvrons pris d’assaut par des centaines de personnes, dont certaines semblent déjà avoir contracté la même hystérie. Et c’est pareil devant l’accueil des urgences, où Karl décide quand même de tenter sa chance pour faire soigner son collègue infecté. Après avoir échappé de justesse à un groupe de fous furieux violents et assoiffés de ...
... sexe, Charlène et moi parvenons à entrer dans l’hôpital, où une infirmière, débordée par les blessés et les contaminés qu’on lui amène, nous dirige vers un bureau dans lequel se tient une réunion de crise. Mais quand nous y arrivons, c’est pour constater que la démence s’est également emparée des responsables de l’établissement. Nous réussissons à délivrer deux docteurs des agressions de leurs collègues devenus déments, et nous apprenons de ces rescapés que la folie ambiante est probablement due à une sorte de virus, résultat malheureux d’une expérience qui aurait mal tourné. Ils nous expliquent encore que des équipes de recherche se relaient en permanence pour essayer d’en découvrir davantage sur la maladie et la façon de s’en défaire, et nous décidons de nous rendre tous les quatre dans les laboratoires souterrains de l’hôpital.
***
Charlène et moi marchions devant les deux médecins, nos armes levées, prêtes à servir. Nous avions rencontré un petit problème en voulant redescendre vers les étages inférieurs : dans le vestibule devant les ascenseurs, une nana à poil était agenouillée sur un type couché à terre et en pompait un autre. Tous trois grognaient et beuglaient ; tous trois avaient la peau couverte de taches grises ; tous trois tournèrent immédiatement sur nous leurs yeux fous injectés quand nous ouvrîmes la porte du couloir…
Nous fîmes demi-tour sans chercher à les affronter ou les contourner. Le docteur Landry nous promit qu’on trouverait un escalier de secours ...