La prise en main de Julien (2) - Histoires de Sexe

La prise en main de Julien (2)

... doucement mon souffle.

— C’est un vrai plaisir de le faire démarrer ce petit Julien, il est sensible et réactif à la sollicitation ; je suis sûre qu’il aime ça, son sexe est bien bandé. Bon, on reprend notre partie.

Le pire c’est qu’elle a raison, la séance me met dans un état d’excitation incroyable et m’amène au bord de la jouissance. Je reste en position, à sa demande, tandis que la partie reprend.

Elles ne semblent pas décidées à me mettre nu, car Marie Laure continue à parier sur des mises à disposition et des exhibitions de mon corps.

Cela commence par un bondage que Véronique me fait subir : elle m’attache le poignet droit, dans le dos avec la cheville gauche, et le gauche avec la cheville droite. Cela m’oblige à me cambrer pour supporter la tension. Ensuite, je suis redressé sur les genoux, et disposé en équilibre contre un fauteuil. C’est-à-dire que, pour ne pas tomber en avant sur le sol, je dois pencher ma tête vers l’arrière. Sinon, il faudrait que j’avance les genoux, mais ils sont liés aux pieds du fauteuil.

— Il faut que tu trouves la position d’équilibre : si tu relèves la tête, tu tombes sur le sol. Donc pour ne pas tomber, reste bien avec la tête en arrière pour garder l’équilibre.

Évidemment, la position n’est pas confortable et tout mon corps est exposé, à disposition des sollicitations qui ne vont pas manquer d’arriver.

Je trouve qu’elles ne perdent pas souvent, et la partie de cartes n’est plus qu’un prétexte pour savoir ...

... laquelle va pouvoir jouer. J’ai droit aux pinces sur les seins, aux coups de martinet sur le torse, aux coups de poing dans les abdos. Si je n’avais pas le string, j’aurais une érection maximale. J’ai vraiment envie de jouir, mais cela ne semble pas du tout dans leur objectif, elles jouent au maximum sur ma frustration.

— Les filles, je vous propose un dernier enjeu avant de laisser Julien rentrer chez lui, un contrôle du sexe avec le pied, avec ou sans chaussure, la gagnante décidera.

Brigitte est la gagnante, elle porte des talons aiguilles qu’elle décide de conserver.

Je suis disposé allongé au sol devant elle, les jambes écartées de chaque côté de son fauteuil, et donc le sexe très accessible à ses chaussures. Elle commence alors doucement à écraser mon sexe à travers le string, et faire des mouvements de va-et-vient qui me conduisent rapidement, à nouveau, au bord de la jouissance. Le talon aiguille vient buter contre mes bourses. Elle bouge doucement, lentement, et elle m’annonce tranquillement que je ne jouirai pas ce soir.

Je peux aller me rhabiller et avant de partir, je me rappelle que je n’ai pas le droit de me branler, mais que je peux aller voir ma femme pour qu’elle m’autorise, d’une façon ou d’une autre, à éjaculer.

En arrivant à la maison, ma femme n’est pas rentrée, encore à la chorale.

Pour l’attendre et espérer lui donner envie de s’occuper de moi, je me remets en string pour qu’elle me trouve en train de faire mes exercices, pompes, abdos, ...