La prise en main de Julien (2) - Histoires de Sexe

La prise en main de Julien (2)

... profite pour la bouger un peu à chaque fois. Au bout de 14 pompes, alors que je commence à fatiguer, les pompes sont plus espacées et je commence à avoir du mal à remonter. Elle me donne alors un petit coup de pied dans le sexe.

— Allez, bouge-toi un peu, on n’a pas que ça à faire.

Je termine le plus vite possible, essoufflé, et retourne prendre place à côté de Marie Laure, le sexe gonflé par une érection heureusement contenue par le string, mais bien visible quand même.

— Alors ma chérie » déclare Anne, « Que vas-tu parier maintenant ? Ton petit Julien n’a pas l’air bien résistant.

— Il est bien sensible des tétons, si vous voulez, la gagnante pourra en profiter, disons 5 minutes ?

Les filles se concertent et acceptent.

Évidemment, après une chaussure perdue chez l’une d’elles, Marie Laure perd, et c’est encore Anne qui gagne. Cela me donne vraiment l’impression que tout est fait pour que Anne continue à diriger la soirée. Elle se tourne vers moi :

— Alors Julien, on va tester ces tétons. Appoche-toi, à genoux de chaque côté de mon fauteuil, présente-moi tes seins, les fesses sur les talons et les mains en appui sur tes chevilles.

Tandis que je prends position, tout près de son fauteuil, elle écarte doucement les pieds, et provoque un écartement maximal de mes genoux, qui met tout mon corps en tension, et elle a un accès total à mon buste. Elle approche la tête, plante son regard dans mes yeux, à une vingtaine de centimètres de moi. Je me sens ...

... pénétré par son regard. Elle commence à titiller mes tétons.

— On a 5 minutes pour s’amuser tous les deux, et tester ta résistance. Véronique, tu mets en route le minuteur pour 5 minutes ?

Et c’est parti, ça démarre plutôt fort, les 2 tétons pris entre le pouce et l’index de chaque main, elle pince, triture, malaxe, le regard toujours planté dans le mien, elle prend possession de mes seins. Elle tire vers le haut, m’obligeant à décoller les fesses des talons et me cambrer encore plus, et triture sans relâche. A chaque pincement plus fort, je contracte mon sexe, et l’érection, bien que contenue par le string est bien visible, ainsi que les palpitations de mon sexe. Bientôt, elle rythme mes contractions. Toutes les 5 secondes, le malaxage s’intensifie et je tends mon sexe. Elle a maintenant pris possession de tout mon corps, et le malaxage en règle continue.

Il n’y a pas de répit, elle cadence les contractions de mon sexe, cela se rapproche de plus en plus, 4 secondes, puis 3 secondes, je halète n’arrivant plus à prendre ma respiration. 5 minutes, c’est une éternité, ce n’est plus un jeu, elle cherche vraiment à me faire mal, je résiste comme je peux, et toujours son regard planté dans mes yeux pour scruter mes moindres réactions, et me maintenir sous contrôle.

Soudain, alarme, sauvé par le gong, tout s’arrête, et tout le monde applaudit, j’ai les tétons en feu.

— Garde la position, me dit Anne, en relâchant aussi la tension sur mes genoux écartés.

Je reprends ...