La contrôleuse sans interdit
Datte: 03/03/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
Collègues / Travail
douche,
volupté,
massage,
Oral
fdanus,
historique,
Auteur: Phileras, Source: Revebebe
... littéralement sur lui. Les litres d’eau chaude qui tombent sur elle stimulent son orgasme en force et en durée. Elle se jette sur la bouche d’Édouard comme pour prolonger ce moment si intense mais si court. Elle voudrait que ces corps qui partagent leurs sensations les plus intimes ne se séparent jamais. Mais petit à petit tout le monde reprend ses esprits et arrive le temps des compliments et des remerciements :
— Édouard chéri, merci pour ce que je viens de vivre, j’aime tellement sentir les vibrations de ton corps quand tu jouis.
— Je vous retourne le compliment…
— …
— … Je pense, Claire, qu’il est temps qu’on utilise cette douche pour ce qu’elle est, c’est-à-dire pour se laver.
— Édouard, avant qu’on prenne vraiment notre douche ensemble, sors une petite minute, j’ai besoin d’être seule quelques instants.
— Bien sûr, Claire, et à tout de suite.
Quelques instants plus tard, Claire rappelle Édouard sous la douche déluge :
— Rentre maintenant, je vais te rendre tout propre, comme si tu étais mon bébé.
Claire coupe l’eau de la douche, s’empare de savon et frotte avec ses mains tout le corps d’Édouard qui a retrouvé toute sa forme et lui pose beaucoup de questions :
— Claire, je vous connais très peu, parlez-moi donc un peu de vous.
— Je travaille dans la société des Dumarez depuis vingt-cinq ans, je suis responsable du contrôle depuis dix ans, je suis restée mariée dix-huit ans, j’ai une grande fille de vingt-deux ans qui vit avec moi et je suis divorcée ...
... depuis cinq ans.
— Et vous n’avez plus d’homme dans votre vie ?
— Comme beaucoup de femmes divorcées, j’ai un amant à temps partiel. Mais avec l’habitude il a un peu perdu les petites attentions et les petites originalités dont tu viens de faire preuve avec moi. Si avec toi tout à l’heure j’avais un plaisir d’avance, avec lui j’ai souvent un ou deux plaisirs de retard. Il est alors obligé de terminer son travail… à la main.
Édouard aimerait en savoir un peu plus, par curiosité, sur Monsieur Antoine le très grand « dragueur » de jupons :
— Et Monsieur Antoine, vous le connaissez depuis longtemps ?
— Une semaine après mon accouchement, j’ai découvert que mon mari avait une maîtresse. À partir de ce jour, je n’ai eu aucun scrupule à accepter les propositions de Monsieur Antoine. J’ai donc été l’une de ses innombrables maîtresses pendant plus de vingt ans, jusqu’à son incident de santé de l’année dernière.
— Innombrables ?
— Oui, cet homme très prévenant a connu certainement plus de mille femmes dans sa vie. Pour la bagatelle, c’était une force de la nature, comme Victor Hugo. À quelques exceptions près, il faisait une proposition à toutes les femmes qu’il rencontrait, or il ne travaillait qu’avec des femmes. Pendant l’occupation, en sus des françaises de la région, toutes les femmes allemandes des environs y sont passées.
— Impressionnant !
— Tu craignais tout à l’heure que je dévoile notre aventure, mais désormais c’est moi qui te demande une certaine discrétion. ...