1. La contrôleuse sans interdit


    Datte: 03/03/2021, Catégories: fh, fplusag, Collègues / Travail douche, volupté, massage, Oral fdanus, historique, Auteur: Phileras, Source: Revebebe

    ... en quelques secondes d’un érotisme plus que chaud à une plaisanterie d’étudiant. Il poursuit sur un ton plus sérieux :
    
    — Mais pas uniquement. Demain à midi nous pourrons déjeuner tous les deux à la cantine avec vos autres collègues.
    — Avec plaisir, nous sommes un groupe d’une dizaine de femmes.
    — Alors vu le nombre, j’achèterai deux bouteilles de rosé et quand nous trinquerons tous les deux vous pourrez discrètement penser au plaisir que nous allons partager maintenant.
    
    En entendant cette phrase, Claire redevient extrêmement sérieuse :
    
    — Édouard j’aime ce que tu viens de dire.
    — Trinquer avec un bon rosé ?
    — Non ! Me dire qu’on va partager du plaisir. C’est rare d’entendre un homme employer le mot partage.
    
    Édouard installe la chaise sous la douche, s’assied et ouvre le robinet d’eau :
    
    — Venez sur moi, Claire, je suis super impatient de sentir tout votre corps.
    
    Claire s’approche d’Édouard et regarde l’eau qui coule à seaux. Elle n’a pas pris de bonnet pour protéger ses cheveux, mais tant pis :
    
    — J’aime être pénétrée, Édouard, laisse-moi faire… Je vais t’offrir tout mon corps, c’est moi qui vais t’aimer… Caresse-moi pendant que je m’occupe de toi.
    
    L’excitation rend le regard de Claire un peu triste. Elle prend la tête de son amant dans ses mains, l’embrasse et met tout son corps en action pour faire monter lentement le plaisir d’Édouard dont visiblement l’esprit prend son envol petit à petit. Claire fait très sensuellement un petit massage du ...
    ... torse d’Édouard avec ses seins dont les extrémités sont à la fois dures et sensuelles. Le bas de son ventre frotte le bas du ventre d’Édouard. L’entrée de sa chatte se contracte doucement, aspirant inexorablement en elle le sexe d’Édouard avant de le relâcher. L’eau chaude qui coule avec abondance multiplie les sensations. Avec ses mains Édouard caresse amplement les cuisses, les fesses et le creux des reins de cette femme dont il prend possession du corps. Il rentre dans une sorte de torpeur, le temps semble presque s’arrêter. Il revient à lui quand le corps de son amante est pris de petits tremblements, que ses cuisses deviennent presque dures et qu’elle lui dit à l’oreille avec une petite voix timide, presque coupable :
    
    — Édouard chéri, rejoins-moi, je ne pourrais pas tenir encore bien longtemps.
    
    Édouard serre alors Claire très fort dans ses bras et fait pénétrer avec force son sexe au plus profond de son ventre pour y délivrer ses grands jets de plaisir. Claire sent cette liqueur la remplir, elle est en train de faire jouir son jeune amant. Elle ne voudrait pas que ce plaisir déclenche immédiatement le sien, elle veut voir le corps d’Édouard vibrer, elle veut l’entendre souffler, râler, hurler son plaisir, elle veut le voir jouir jusqu’au bout, jusqu’au moment où il va s’effondrer sur son épaule, en l’embrassant une dernière fois dans le cou, en lui pinçant une dernière fois ses cuisses. Claire ne parvient pas à attendre le dernier soubresaut d’Édouard, elle explose ...
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