Un merveilleux cadeau
Datte: 05/05/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
init,
inithf,
Auteur: Bertrand d, Source: Revebebe
... Diane.
Elle avait sa voiture et m’a emmené dans son appartement. Que puis-je te dire, le vendredi soir j’étais puceau, le dimanche soir quand elle m’a ramené chez moi, je connaissais à peu près tout de la sexualité. Et surtout, pendant les temps de repos, elle m’avait appris comment séduire les filles.
Je ne l’ai jamais oubliée, ni tout ce qu’elle m’a enseigné. Et elle est partie. Je ne l’ai plus revue, ni mes copains. Daniel et Florence m’ont invité à leur mariage, mais je n’y suis pas allé. Ceci s’est passé il y a sept ans. Et depuis je pratique et j’apprends continuellement. Toi aussi tu m’as enseigné une nouvelle manière de concevoir l’amour. Et pourtant tu n’as que vingt-quatre ans !
— Oui, pendant six mois j’ai vécu avec un homme de quarante-cinq ans qui avait beaucoup d’expérience et c’est lui qui m’a formée. Bon, maintenant que tu as retrouvé la forme, si nous nous aimions normalement.
— Volontiers, allons-y.
Nous avons passé un week-end merveilleux qui m’a rappelé celui avec Diane. J’ai profité de tous ses orifices, me suis déversé abondamment dans chacun, mais aucune goutte n’a jamais débordé. Nous nous sommes séparés le dimanche soir, sachant que nous ne nous reverrions probablement jamais.
Dans notre agence, lorsque notre chef ou l’un des employés s’absentaient, le plus compétent d’entre nous le remplaçait. C’était le second et il pouvait espérer une promotion au bout de quelques années. C’est ce qu’a eu droit le titulaire de cet emploi, il a ...
... été promu ailleurs et c’est moi qui ai été choisi pour le remplacer. C’était un merveilleux tremplin, et aussi une augmentation de salaire. J’étais à la fois fier et heureux.
Notre chef d’agence, lui, approchait de la retraite et me laissait souvent des responsabilités. Il me disait que cela me formait, mais c’est surtout parce qu’il se considérait comme en préretraite. Pour moi, célibataire, jeune, j’apprenais avec ardeur. De plus, j’avais suffisamment de moyens pour faire la fête, c’était le rêve.
À l’approche de son départ, un jour il me convoque dans son bureau. Il se trouve avec un de nos directeurs. Cela ne m’inquiète pas, je sais quel en est le motif.
— Monsieur Tournier, bonjour. Je profite de mon passage dans la ville pour vous féliciter et savoir si vous étiez satisfait de votre promotion.
— Naturellement, j’en suis ravi.
— Comme vous le savez, monsieur Carré va nous quitter, à la fin du mois, à notre grand regret. Un remplaçant va être nommé. Pour connaître sa nouvelle fonction, il va arriver lundi en stage pour une semaine, avant de prendre définitivement son poste. Votre chef va être suffisamment occupé à préparer son départ, je compte sur vous pour mettre au courant votre nouveau chef.
— Naturellement, ce sera avec plaisir.
— Donc à lundi.
Qui allions-nous recevoir comme patron ? Quelqu’un qui vient terminer sa carrière ou au contraire un jeune diplômé d’une grande école. Dans ce dernier cas, il faudra lui préciser le fonctionnement du bureau, et ...