Un merveilleux cadeau
Datte: 05/05/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
init,
inithf,
Auteur: Bertrand d, Source: Revebebe
... qui leur ont permis de tenir longtemps. Quand elle a senti qu’il était prêt à jouir, elle s’est retournée, l’a pris en bouche et l’a avalé au fond de sa gorge. Il a compris son intention et s’est soulagé directement dans son tube digestif.
Elle s’est relevée, est venue dans ses bras.
— Tu vois, c’est pratique, aucune trace sur le visage, on ne voit rien. Mais je dois te dire que je n’accorde que très rarement cette faveur. Il faut que j’aie entièrement confiance en mon partenaire et surtout que celui-ci soit compétent. Je ne sais pas quelle femme t’a dépucelé et appris l’amour, mais elle a réussi, tu as dû débuter jeune.
— Non, détrompe-toi, autrefois j’étais timide et à vingt ans, j’étais encore puceau.
— Mais comment as-tu fait alors pour aborder et baiser cette femme ?
— C’est un cadeau des copains.
— Un cadeau ?
— Oui, nous étions sept copains, quatre garçons et trois filles. Norbert et Diane, Maxime et Marion, Daniel et Florence qui étaient déjà en couple, et moi. Ils sortaient de familles aisées, moi, j’étais seul, et de plus je suis fils d’ouvrier. Pourtant, ils me prenaient avec eux et me payaient tout, lorsque nous sortions. Je dois te dire que je leur étais utile. En cours, je n’étais pas mauvais dans la plupart des matières, non pas parce que j’étais super intelligent, mais seulement parce que je travaillais dur. Je voulais sortir de ma condition, parvenir à une vie sans soucis d’argent. Or eux étaient plutôt négligents, un peu paresseux. Le soir, ils ...
... photocopiaient les notes que j’avais prises en cours. Quand il y avait une épreuve à rendre, je leur préparais un plan du travail en plaçant quelques idées et surtout je faisais les recherches nécessaires sur internet. Pour deux d’entre eux, Norbert et Diane, il en avait toujours été ainsi, nous nous connaissions depuis la seconde.
Les autres nous avaient rejoints après le bac, ils se connaissaient déjà de par leur famille, et ont eux aussi profité de mon travail. Nous avons tous effectué les deux ans de classe préparatoire pour les concours aux grandes écoles de commerce.
Tous les six ont réussi, moi non, je ne les ai pas présentés. Je n’avais pas les moyens de poursuivre des études, mon père est ouvrier, je suis l’aîné de quatre enfants, je devais trouver un emploi. Avant de nous séparer, pour l’anniversaire de mes vingt ans, et aussi pour me remercier de l’aide que je leur avais apportée, ils m’ont invité à un repas. Ils étaient un peu amers que je ne puisse pas continuer des études. À la fin du repas, Norbert s’est levé et m’a dit :
Je m’attendais à un gadget, un appareil électronique. Diane s’est approchée de moi et m’a dit :
J’étais abasourdi. Diane voulait me dépuceler, Norbert était d’accord ! Et les autres avaient accepté ! Je suis resté sans voix. J’aimais Diane depuis le premier jour où nous nous étions connus, en seconde. Mais elle avait choisi Norbert. Tous sont venus me dire au revoir, garçons et filles m’ont embrassé et je me suis retrouvé seul avec ...