Mélanie - Histoires de Sexe

Mélanie

... dessous.

- "Tu vas bien ma chérie?" lui demanda Jérôme en lui ôtant son gagball.

Le regard de Mélanie lui glaça le sang: "Oh que oui! Je me suis découverte, c'est ce dont j'ai toujours rêvé. Je t'aime mon amour, je veux continuer ma vie avec toi, mais je veux aussi vivre cette nouvelle vie qui s'offre à moi"

Jérôme était autant ravi que catastrophé. Il avait certes récupéré sa chérie doublée d'une super salope, mais elle ne lui appartenait plus entièrement maintenant.

Dés le lendemain matin, un SMS d'un de ses maîtres lui donna le ton: "voici mes instructions: à partir de maintenant, plus de vêtements qui descendent en dessous de mi cuisses, mini string et hauts décolletés obligatoires, soutif interdit, maquillage de pute, talons hauts. Je t'appelle vendredi en fin d'après midi."

Mélanie, comme une automate, alla dans son placard pour vérifier ce qu'elle avait qui conviendrait à son nouveau dresscode: deux minijupes, deux mini-shorts, quelques chemisiers et débardeurs échancrés, des talons hauts, des strings, ça allait.

Pour le maquillage, elle n'avait eu qu'à forcer celui qu'elle portait d'habitude, surtout au niveau des yeux et le rouge à lèvres, d'un rouge pétard: "une vraie bouche à pipes" se dit elle en contemplant le résultat dans son miroir.

Elle sortit ensuite faire du shopping pour acheter dans différentes boutiques les tenues les plus salopes qu'elle pouvait trouver.

Ses maîtres n'avaient pas perdu de temps pour capitaliser sur leur ...

... esclave.

Les week-end furent consacrés à bien tester sa docilité :

- Ses maîtres lui ordonnèrent de sortir avec une jupe ras la moule et un débardeur bien échancré qui faisait ressortir ses gros nibards, aller dans un bar glauque et allumer les clients. Interdiction de rentrer tant qu'elle n'aurait pas vidé la boite de 50 préservatifs qu'ils lui confièrent.

Lâchée en début de soirée dans le quartier le plus pourri de la ville, Il n'avait pas fallu un quart d'heure pour qu'elle se retrouve dans les chiottes puantes d'un bar miteux en train de sucer un des clients puis, les mains appuyées face au mur, la micro jupe et le débardeur relevé, se faisant pilonner et insulter comme une trainée. Surpris par le barman, elle fut jetée dehors comme une pute de bas étage.

Mélanie ne se démonta pas et traversa la rue.... vers un autre bar tout aussi glauque. Pour son bonheur (?) c'était le repaire d'un groupe de motards. Rapidement "prise en main" par la dizaine de bikers présents, elle fut tringlée le reste de la nuit dans tous les coins du bar par tous les trous: sur un tabouret de bar par le chef et ses adjoints, sur le billard par toute la bande, sur la banquette d'une table par tous les motards à tour de rôle ou à plusieurs, ils l'abandonnèrent à six heures du matin allongée sur une table du bar, épuisée, la jupe tirebouchonnée sur la taille, le débardeur déchiré. Elle récupéra par terre et suspendit en rang d'oignon les préservatifs pleins de foutre à son string miraculeusement ...