Mélanie - Histoires de Sexe

Mélanie

... cri tandis qu'un autre lui colla la lame d'un couteau sur sa gorge.

- "Crie et on t'égorge!" grogna t il.

L'autre ne perdait pas de temps: il avait empoigné un de ses seins et le malaxait avec avidité.

- "On était juste venu pour piquer du pognon et des téléphones mais voilà le genre de petite blanche à asservir d'urgence" dit il.

- "ouais" ajouta celui qui la bâillonnait, "on va la rendre bien obéissante, qu'elle fasse tout ce qu'on veut"

Affolée elle regardait autour d'elle pour chercher Jérôme. Elle le trouva dans un coin de la chambre, ligoté et bâillonné, regardant fixement la scène impuissant.

Le "scénario" se réalisait-t-il ou était ce une agression?

En un instant, Mélanie eu les pieds et les mains liées, un bandeau sur les yeux et un gag-ball dans la bouche.

Le plus costaud de ses agresseurs la prit sur une épaule comme un sac et la petite troupe se mit en route. Les escaliers de l'immeuble vite dévalés, Mélanie se retrouva bientôt sur la tôle froide de ce qui semblait être l'arrière d'une fourgonnette qui se mit aussitôt en route.

Deux des types restèrent avec elle à l'arrière et commencèrent lui peloter les seins, la vulve.

- "Putain mais elle mouille"

- "ça va être du gâteau, on va en faire notre esclave sexuelle, on pourra même la vendre gaulée comme elle est, y a Mourad qui a des parts dans un bordel en Allemagne, on pourra l'y mettre pour qu'elle rapporte"

Cette discussion, qui devrait pourtant terrifier Mélanie, eut pour ...

... effet de l'exciter encore plus: elle ne put s'empêcher de gémir sous les caresses des deux voyous.

"Putain, mais elle couine en plus, j'en peux plus, faut qu'elle me suce"

Le lascar écarta le bâillon et introduisit sa bite dans la bouche de Mélanie. Une bite épaisse, au gout fort.

Cela eut un effet fou sur la jeune femme qui commença à pomper avec avidité ce sexe

- " Comme elle suce bien" siffla l'homme.

L'autre ne voulut pas être en reste: il défit les liens des pieds, attrapa les cuisses de la jeune femme, les écarta pour se frayer un chemin jusqu'à sa chatte et y introduisit son engin.

Spectacle saisissant: à l'arrière d'une fourgonnette, deux types encapuchonnés baisaient comme une poupée gonflable une femme ligotée les yeux bandés.

Un des types qui se trouvait devant les apostropha:

- " N'abimez pas la marchandise, son dressage ne fait que commencer, en plus on va pas tarder à arriver. Mec, ne jute pas dans sa chatte, attends que les autres soient là"

L'homme se retira de la chatte de Mélanie et força sa bouche. L'autre type était sur le point de jouir, et c'est pas moins de deux rasades de foutre que la jeune femme dut avaler pour ne pas étouffer.

- "Sur la vie de ma mère, qu'elle est bonne, je la baiserais toute la nuit!" dit le premier.

- "Allez, moi j'en veux encore, je prends sa chatte" reprit le second.

Bientôt, la fourgonnette arriva dans une zone industrielle déserte à cette heure de la nuit, et entra dans un des bâtiments et ...