Images du passé
Datte: 01/03/2021,
Catégories:
fh,
cérébral,
tutu,
Auteur: Janus Bozyeux, Source: Revebebe
... déposaient dans un mouchoir, sans cracher, ce dont je leur savais gré. Souvent elles me faisaient jaillir dans leur bouche et elles laissaient couler le foutre de long de ma tige en continuant de me sucer, ce qui est aussi extraordinairement jouissif. Les plus terribles alliaient les plaisirs, elles laissaient couler tout en regardant avec les yeux de la victoire plantés dans mes yeux de défaite jusqu’à ce que ma queue demande merci, puis leur langue allait dans les poils chercher sa provende, leur regard toujours rivé au mien, plantant leur défi d’adorables maîtresses de ces instants sacrés. Comment ne pas hurler des mots tendres à ces femmes qui donnent tant d’amour ? Elles chantent éternellement en moi, celles qui m’ont vaincu, qui m’ont fait connaître la merveilleuse honte de ne pas les avoir soumises à leur plaisir. Beaucoup de femmes reconnaissent les hommes qui se respectent et les respectent encore plus qu’eux-mêmes.
Doux échanges, douces luttes avec les femmes du passé et avec toi aujourd’hui, qui se terminent en câlins si tendres, si émouvants, si amoureux vraiment qu’ils ne retiennent pas les mots qui t’effraient. Tu ne dois pourtant pas les craindre, ils ne t’engagent pas, moi non plus, c’est la magie de l’instant. Je t’aime beaucoup, infiniment mais je ne suis pas amoureux, puisque tu ne veux pas que je le sois. Tu peux être rassurée, tu ne me feras pas souffrir… j’ai appris à ignorer la souffrance.
oooOooo
Tu es contre moi et je fouille ton vagin, ...
... depuis que j’ai écarté tes lèvres la source est née, je sais que tu veux me sucer avant que je plonge entre tes cuisses pour boire ta mouille, toi, tu sais que j’adore manger ta chatte et que tu as peur d’en jouir trop tôt. Tu te sens faible face à mes doigts et ma langue sur ton clitoris, si tu prenais ton pied maintenant, tu perdrais l’attente du plaisir. Je sais, je sais ! J’enrage de ma mentule soulagée quand je voudrais encore te baiser, quand je voudrais encore voir ton visage aux yeux fermés, pour qu’ils ne disent pas l’amour, se balancer sur l’oreiller, que mon gland glisse juste dans la vulve avant de plonger en toi et que je me retienne pour revenir agacer ton entrée. Le plaisir obtenu, hélas, rend impuissant, je ne puis plus te soumettre à ma virilité.
oooOooo
Je t’ai envoyé ce message avant de te rejoindre. Je sais que demain, au retour, j’aurais envie d’écrire ce qu’auront été nos ébats. Ils ne seront pas ce que je prévois. Je pense toujours à des scenarii qui ne se réalisent que rarement, nous improvisons toujours. Je viens vers toi.
Pendant le trajet j’imaginais nos premières caresses avant le dîner, sur cette banquette si malcommode aux pratiques de l’amour physique. Entre la table trop proche et le matelas qui glisse pour nous jeter à terre, nos positions doivent s’adapter à la tendre joute. Malgré le froid dans le wagon, ma queue prenait ses aises sous les pulsions de mes fantasmes. Comme je ne risquais pas de partir à blanc, je trouvais la situation ...