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Dix femmes... dix destins (10)
Datte: 01/03/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... la voie choisir par Mathieu, plus elle se sent sûre d’elle. Un paradoxe tout de même que cette vision des choses. La peur de se perdre provoque dans sa tête des émotions bizarres, une montée d’adrénaline qui la tiennent en haleine depuis... qu’elle s’est remise sur ses pieds. Lui vient de pousser le portillon d’un pavillon invisible de la rue. De hautes haies en masquent totalement la vue. Les chaussures du gars font crisser un gravier fin qui jonche l’accès à une maison superbe. Cette fois il doit être conscient de sa bonne fortune. Les escarpins de Muguette eux aussi bruissent sur les minuscules cailloux. Ils sont entrés. D’abord, ça sent la cire et l’encens. Puis les yeux de Muguette se remplissent de ce qui l’entoure. Elle est debout dans l’entrée. C’est vraiment cossu ce que ses regards découvrent. Lui fait comme si elle n’existait pas. Puis alors qu’il s’est mis à l’aise en retirant sa veste, il lui demande d’avancer. La voix est d’un coup bien différente de celle de l’extérieur. — Avance au milieu du salon ! Le salon, une pièce aérée avec un long meuble tapissé de livres et sur un pan de mur, un divan de cuir. À la droite et à la gauche de celui-ci, deux fauteuils qui sont tournés de trois quarts vers lui. Au milieu de ce trio en cuir fauve soigné, une table basse. Elle est plus longue que les tables traditionnelles, curieusement plus grande même que la femme qui se tient près d’elle. Mathieu prend place sur un des sièges et jauge les formes du piquet ...
... planté dans son intérieur. — Retire ton chemisier que je puisse admirer ces... tes seins ! — ... — Ne crains rien et puis... je crois que c’était convenu avant que tu viennes chez moi. J’exige une obéissance totale et inconditionnelle. Déboutonne-moi ce vêtement, que je me rende compte. La femme relève le menton en signe de défi et puis ses doigts tremblants décachettent sa poitrine. Un à un, les petits boutons s’entrouvrent pour finalement que tombe le tissu. Deux minuscules collines blanches arborent une zone plus sombre surmontée d’un tiret brun. — J’adore les petits nichons. Le travail de ceux-là est souvent plus gratifiant que celui sur de grosses mamelles. Tu veux quitter ta jupe ? Garde tes hauts talons, ça galbe les mollets et donne une élégance aux jambes tout entières. Les doigts ne tremblotent guère moins lorsqu’ils dégrafent la ceinture avant de faire glisser vers le bas, le zip qui ferme la corolle de chiffon noire. Cette fois le vêtement glisse sur le long des quilles et Muguette lève un pied, puis l’autre pour sortir de la guenille qui entoure ses chevilles. Elle ne porte plus rien que ses escarpins. — Tourne-toi face à moi ! Parfait... mais n’oublie pas, les jambes ne doivent pas rester soudées. Écarte-moi cela, oui juste un centimètre ou deux. Ça change tout. Tu ne peux pas le voir, mais assis, je regarde ton sexe qui se dessine, se découpe dans la lumière que laisse filtrer cet espace entre tes jambes. Et j’admire ce que tu as à montrer. Le ...