Apprentissage sulfureux (Chap 1 et 2)
Datte: 28/02/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
train,
intermast,
Auteur: Oup, Source: Revebebe
... express qui devait m’emmener dans le sud de la France, mon compartiment était plein.
A côté de moi, un retraité et sa femme, un militaire, sur l’autre banquette un couple d’amoureux, une jeune femme et son bébé, face à moi une femme mûre.
Vers 22h, le bébé commença à pleurer, son cri perçant ameutait tout le compartiment, il réclamait son dû.
La jeune femme, légèrement rondouillarde, ouvrit son chemisier, libéra un sein qu’elle donna à son enfant.
C’était la première poitrine que je pouvais voir.
Faisant semblant de lire, j’observais la scène.
Son sein était ferme, gorgé de lait maternel. Le bébé s’était calmé.
Ce geste, pourtant banal, déclencha en moi, une érection.
C’est à ce moment que je réalisais que je lisais mon livre à l’envers.
L’air de rien, je le retournais prestement, mon regard croisa celui de la femme mûre, qui le sourire aux lèvres, avait remarqué mon manége.
Elle jeta un coup d’œil entre mes jambes, et se passa la langue sur les lèvres.
Je savais plus où me mettre, je piquais mon fard. Instinctivement je croisais les jambes pour dissimuler mon émotion.
Après quelques heures de chemin de fer, tous les occupants somnolaient, sauf moi.
La femme mûre les yeux fermés, avait allongé ses jambes entre les miennes.
Sa jupe légèrement fendue, m’offrait la vue d’un bout de cuisse, la lisière d’un bas.
C’en était assez, pour que je me remette à bander.
Pris d’une envie pressante, je me levai pour aller aux toilettes. Je ...
... sortis du compartiment.
Dans le couloir, pas âme qui vive, seul une odeur de tabac froid flottait.
Les toilettes, je n’en parle même pas, de l’urine partout, une odeur nauséabonde.
Malgré cela, j’observais l’espace d’un instant dans la glace, mon sexe demi-érigé.
Histoire de me faire du bien, je tirais deux trois fois dessus, le faisant grossir entre mes doigts.
A ce moment, on clicha à la porte, je rangeai avec quelque mal, mon outil déployé dans mon pantalon.
Je sortis du local puant, laissant la place au suivant.
Dans le couloir qui me ramenait à mon compartiment, je croisai la femme mûre.
Le passage exigu nous força à nous frôler.
A ce moment, le train passa sur un aiguillage, la femme mûre sembla perdre l’équilibre et se rattrapa à mon cou.
Plaquant son opulente poitrine sur moi, ses mains s’attardèrent sur ma nuque, je ne savais pas quoi faire.
Je n’avais d’yeux que pour sa bouche charnue.
D’un coup ses lèvres se posèrent sur les miennes. Sa langue entra dans ma bouche et dansa avec la mienne.
Une de ses mains lâcha mon cou, glissa le long de moi, pour se refermer sur mon entrejambe tendue.
Ses doigts habiles descendirent la fermeture de mon jean, preuve d’une grande habitude, se glissèrent dans l’ouverture, se refermèrent autour de ma hampe.
Elle fit aller ses doigts avec agilité, tout en continuant à m’embrasser.
Fortement ému, ne pouvant me contenir, j’éjaculai dans sa jolie main.
Quelques secondes plus tard, elle me ...