1. Résonance primitive - 5


    Datte: 28/02/2021, Catégories: fh, frousses, extracon, fsoumise, hdomine, contrainte, fgode, fsodo, attache, Humour fsoumisah, Auteur: Lokz, Source: Revebebe

    ... comme une arme blanche, et que j’enfonce et ressors complètement de sa chatte, dans un bruit humide, limite obscène. J’y vais fort et vite, et me demande quelles sont ses limites, tout en sentant les miennes se dissoudre devant le spectacle cru de sa chair avide. Avide, c’est le mot, et je me sens aspiré, prêt à tout pour la satisfaire. Je pourrais lui mettre mon poing si elle me le demandait.
    
    En attendant, je lui présente le gode devant la bouche, et la regarde tendre le cou comme un oisillon affamé pour essayer de le sucer. Je joue à le soustraire à sa langue tendue, puis, encore plus bon prince, lui cède sa récompense. Elle se délecte comme toujours de son jus en gémissant. Quelle magnifique salope !
    
    — Allez ! il est l’heure de te donner ta dose.
    — Oui, oui, remplis-moi…
    
    Évidemment, ça rentre tout seul, et je ne me sens pas à l’étroit. Du coup, je cherche à stimuler son point G en la pénétrant de haut en bas, et lorsque je sens monter la jouissance, je l’aligne dans l’axe du canapé, la tête contre l’accoudoir, et reprends la profondeur en me vautrant sur elle de tout mon poids. Elle est coincée, et accompagne à peine mes coups. Le coït est bref mais tout en puissance, et je me déverse en elle, foudroyée, la bouche ouverte collée à l’accoudoir, sous ses « oui » d’encouragement et de satisfaction.
    
    Nos respirations s’atténuent doucement, et le silence n’est plus troublé que par les bruits lointains de la rue. Je me sens extrêmement bien, à la fois léger et lourd ...
    ... sur son corps encore entravé. Je voudrais rester en elle, ne plus en sortir et m’endormir, mais…
    
    — Joey, t’es lourd.
    — Mais non, c’est une vue de l’esprit.
    — Retire-toi, tu m’écrases.
    — Hum… demain.
    — Arrête tes conneries. Détache-moi, l’heure tourne, il faut que je me rafraichisse un peu.
    
    Je me redresse d’un coup et lui demande d’attendre. Je fonce à la salle de bain, reviens avec une petite serviette que je glisse sous son cul, puis attrape l’appareil photo et lui dis :
    
    — Laisse-toi couler.
    
    Ce qu’elle fait sans aucune pudeur. Les clichés sont crus et obscènes. J’imagine son mec tomber dessus. Le choc, dans un premier temps. Puis la curiosité qui précède la fascination, et le désir, ensuite, tôt ou tard, d’être acteur ou voyeur direct… ou le rejet total, et le dégoût. Quel drôle de jeu…
    
    Une fois détachée, Laure se précipite dans la salle de bain pour évacuer le trop-plein, comme elle dit. Quelques minutes plus tard, elle ressort fraîche comme aux premières minutes de son arrivée. Évidemment, sous sa robe, sa chatte prend l’air en grand, mais elle a déjà la parade. Ce sera une surprise un peu coquine pour son homme, pour pimenter d’un peu de poivre la routine de leurs retrouvailles. Elle pense qu’il sera excité et heureux de la trouver si osée, si provocante. Je la crois sans mal.
    
    Avant de me quitter, elle me dit merci, me promet de me raconter en détail le résultat de son perfide stratagème et m’embrasse tendrement sur la joue. Tendrement. Une dimension ...