1. Jour de pluie


    Datte: 28/02/2021, Catégories: fh, hplusag, extracon, voisins, Auteur: Ronald76, Source: Revebebe

    ... regard et posant sa tasse, toujours en silence elle en ouvre les deux pans. Ses seins m’apparaissent en premier, ils sont petits en forme de poire et les tétons bien tendus, je devine son excitation, puis c’est au tour de son ventre et de son pubis. Tout lisse, son mont de Vénus est fortement marqué par la position assise, le pli de ses lèvres roses me fascine, son sexe est l’un des plus beaux que j’aie jamais vu. Vers le haut, ses petites lèvres légèrement gonflées m’offrent la vue d’un petit cœur cachant son clitoris. Elle se redresse et ôte le dernier rempart à sa nudité, se rassoit prenant une position qui me rappelle celle de la petite sirène, les jambes repliées sur le canapé me privant du même coup de toute vue sur son intimité. Je sens la tension dans l’air, elle, dans la splendeur de sa nudité, et moi, assis face à elle, moi le vieux dont le tee-shirt ample masque les bourrelets, et dont le jean est distendu par une érection. Les minutes passent en silence, égoïstement je profite du spectacle, sa poitrine menue monte et descend au rythme de sa respiration. Finalement c’est elle qui prend la parole et me le joue à la Bardot d’une voix toute douce.
    
    — Tu les trouves jolies, mes jambes ?
    — Oui.
    — Et mes cuisses, elles te plaisent, mes cuisses ?
    — Oh oui
    — Et mes fesses, tu aimes mes fesses ?
    — Oui, elles sont sublimes
    — Et mes seins, tu aimes aussi ?
    — Oui, ils sont divins.
    
    Le sourire aux lèvres elle se tait un instant puis reprend.
    
    — Et ? Tu vas me ...
    ... laisser comme ça ! Viens près de moi et réchauffe-moi.
    
    Je me positionne à ses côtés, j’ai une vue sur son dos légèrement bronzé et le haut de ses fesses posées sur le canapé. Une de mes mains se saisit de son mollet que je caresse en remontant jusqu’aux genoux, ma tête effleure son cou et je respire son parfum alors que ses cheveux encore humides viennent chatouiller mon visage. Mon autre main se glisse entre son dos et le dossier, se posant délicatement sur sa hanche tout en attirant vers moi son corps, elle se laisse aller et sa nuque vient reposer sur mon épaule, je peux alors déposer de tendres baisers sur la peau de son cou. Elle déplie ses jambes et les pose sur les coussins offrant ainsi à ma vue la totalité de son corps nu, mes doigts, de part et d’autre de celui-ci, empoignent ses seins et y prodiguent des caresses circulaires, puis jouent avec ses tétons durcis, les pinçant légèrement. Sa respiration s’est accélérée et elle mordille la lèvre inférieure de sa bouche entrouverte, je me glisse alors vers le tapis du salon et m’y assois tout en l’allongeant sur la banquette.
    
    J’en profite aussi pour libérer ma queue qui, comprimée dans le pantalon, me fait presque souffrir, ma verge est turgescente et le bout de mon gland est déjà brillant de liquide séminal. Je continue mes caresses, parcourant chaque centimètre de sa poitrine et ma bouche vient prendre possession de la sienne, nos langues jouent ensemble un ballet brûlant alors que nos salives se mélangent. C’est au ...
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