Jour de pluie
Datte: 28/02/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
extracon,
voisins,
Auteur: Ronald76, Source: Revebebe
Je suis un retraité qui découvre tardivement les joies du sexe. Dans mes recherches, je suis accompagné de ma charmante voisine, Claire. Une femme de presque vingt ans ma cadette, mais dont les désirs sont aussi nombreux et exigeants que les miens… Une belle rencontre qui nous emmène loin sur la route du plaisir.Dans l’épisode précédent (Naissance d’une relation), j’ai fait connaissance de ma partenaire d’exhibition et nous partageons nos premiers moments sur sa terrasse.
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Le printemps qui avait si bien commencé se gâte un peu, la pluie s’est invitée, Claire et moi sommes alors privés de notre jeu quotidien. Quand elle rentre, je la vois courir sous la pluie pour regagner sa maison, en passant devant chez moi elle m’adresse un petit signe de la main. Dépité et surtout frustré après une journée d’attente, je m’installe dans mon salon avec le vague à l’âme, je n’ai même pas envie de me branler pour me changer les idées. La sonnerie du téléphone me fait sursauter, je décroche, c’est elle.
— Bonjour, toi.
— Bonjour.
— Eh bien dis donc, quel entrain. Je te dérange peut-être.
— Non, je suis juste un peu déçu aujourd’hui. Cette foutue météo me donne le blues et surtout me prive de toi.
— C’est pareil pour moi, alors tu pourrais peut-être m’inviter pour le café.
— Ben… oui pourquoi pas, enfin, si tu veux. Je…
Je n’entends pas sa réponse, le téléphone m’indique qu’elle a raccroché. Suis-je bête, mon hésitation ...
... n’a pas dû lui plaire, « vieux con », je ne suis vraiment pas doué. Je vais la rappeler et essayer de récupérer mon ânerie. Avant même que je ne compose son numéro c’est à la porte que l’on sonne, je me précipite pour ouvrir et découvre ma Claire. Pour venir elle a dû affronter les trombes d’eau qui tombent, là devant moi il y a un petit bouchon tout mouillé, les cheveux bruns plaqués sur son visage ruisselant et plus désarmant encore, une robe d’été devenue transparente, collée à son corps et qui laisse voir ses dessous blancs.
Je l’invite à rentrer promptement. Elle est là, à quelques centimètres de moi, sur son visage un sourire qui me ravit, je ne peux la laisser dans cet état, je la conduis donc à notre salle de bain et lui donne de suite des serviettes pour se sécher puis un peignoir pour pouvoir se changer et ôter sa robe. Je me précipite à la cuisine pour lui préparer un café chaud. Quelques minutes plus tard, elle me rejoint, qu’est-ce qu’elle est belle, ses cheveux presque secs en bataille lui donnent un charme fou. Je l’entraîne vers le salon et elle s’installe sur le canapé, sa tasse de café calée entre ses mains je vois ses lèvres souffler sur le liquide brûlant. Les yeux dans les yeux nous nous observons sans un mot, il est vrai que depuis que nous nous connaissons nous n’avons jamais vraiment engagé une vraie conversation, notre relation étant purement physique et sexuelle.
Dans l’ouverture du peignoir, je devine la nudité de sa peau, elle a suivi mon ...