Retour de l'internat (5)
Datte: 27/02/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Swingme, Source: Xstory
... relève sur les genoux, le sexe à une encablure de ma bouche assoiffée, mais elle ne me laisse pas l’entreprendre, elle se met à reculer, toujours à genoux, sa vulve se massant sur mon buste dans un bruit de succion terriblement érotique.
Elle se cambre, la tête en arrière, tandis qu’elle se masturbe sur chaque partie de mon corps. De divines décharges de plaisir l’assaillent, à chaque fois que ses lèvres se déforment, s’écartent, se referment autour d’un membre, d’un os, d’une articulation. Elle met un point d’honneur à ne rien oublier, se massant sur un genou, une cheville, un poignet, longeant une cuisse, un tibia. Tout en contrôle, elle s’interdit de jouir sans moi, se contentant de frissons vertigineux et du bonheur de s’unir à sa compagne.
Je regarde à droite et à gauche et m’aperçoit que plusieurs hommes se sont approchés, les yeux brillants de désir. Excités mais respectueux, ils commencent à se masturber, ne perdant pas une miette de la scène délicieuse qui se déroule sous leurs yeux. Nous sommes tout à notre plaisir et en même temps ravies de donner tant de plaisir à ces hommes.
Elle remonte jusqu’à mon ...
... pubis, reste un instant à cheval sur moi, me sourit, en prévision de l’assaut final. Elle modifie sa position et s’installe en ciseaux. Nos vulves entrent en contact, nos lèvres intimes s’entremêlent. Chacune en appui sur nos poignets, nous entreprenons un ballet orgasmique, ondulant l’une contre l’autre, stimulant nos clitoris dans un univers de glisse infinie. Nous captons le clapotis des verges décalottées s’accélérer, le souffle et les gémissements des voyeurs nous accompagner. Nous ne cherchons pas longtemps notre rythme, sentant notre plaisir atteindre son paroxysme. Un ultime coup de rein et nous explosons, jouissant en silence, bouche bée, serrées dans les bras de l’autre, alors que dans le noir, notre orgasme en a déclenché bien d’autres.
Nous savourons cette plénitude de longues minutes, alors que les voyeurs se dispersent. Cassandra me guide vers une salle que je n’avais pas encore remarquée, où nous pouvons faire un brin de toilette et nous rhabiller. Nous rejoignons Peter qui nous attend, et sans un mot, remontons au rez-de-chaussée. La nuit est déjà avancée, il est temps de profiter d’un repos bien mérité.