1. Retour de l'internat (5)


    Datte: 27/02/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Swingme, Source: Xstory

    ... des cuisses, fait une pause, et de sa paume, recouvre mon sexe. Cassandra se retire légèrement, et se contente de souffler doucement sur mon clitoris. Je gémis. Sentir le souffle chaud de Cassandra, imaginer sa langue à quelques millimètres, finalement, est presque pire que le précédent cunni, car mon esprit en fusion complète ce qui n’est en réalité que suggéré, menacé.
    
    Peter resserre ses doigts et en glisse deux entre mes lèvres gonflées. Sans aucune difficulté, tant je suis inondée de mes précédents orgasmes et de mon désir. Il reste de longues secondes à cet endroit. La tête rejetée en arrière, les mains tremblantes cherchant un appui sur la colonne, je râle de plaisir. Enfin, il dépose la pulpe de ses doigts à l’entrée du vagin, puis décrit de larges cercles, testant la chaleur et l’élasticité de la zone. Mais vas-y, pénètre-moi ! De tes doigts, de ton sexe, de tout objet qui passe à proximité, mais bon sang, pénètre-moi !
    
    Peter ne se fait pas prier plus longtemps et pousse, enfonçant deux doigts jusqu’à la garde. Je soupire d’aise, expirant longuement. Peter entame de lents va-et-vient, découvrant cet intérieur torride et sensible, testant mes réactions, mes contractions. Repliant ses doigts, il cherche la zone du point G, se familiarisant avec mon sexe. Un troisième doigt rejoint les premiers. Je sens l’entrée de mon vagin se resserrer merveilleusement autour des intrus, les épouser, les enlacer. J’ondule de plaisir.
    
    Peter joue ainsi quelques instants, ...
    ... effectuant des rotations du poignet, s’enfonçant plus ou moins. Ma cyprine coule maintenant abondamment, lui facilitant la tâche. Il se retire, me laissant frustrée et impatiente. Il suce ses doigts avec gourmandise, s’imprégnant de mon goût. Une sensation nouvelle s’empare de mon bas-ventre, celle d’un gel qu’on étale généreusement. Mon esprit s’emballe, la nouveauté est proche !
    
    Peter refait son apparition, avec quatre doigts. Je sens mon corps résister par réflexe, mais avec beaucoup de douceur, Peter pousse, et mon périnée se détend avec délice. Je m’ouvre alors sans limite. Une vague de sensations envahit tout mon corps, alors que mon sexe, comme animé d’une vie propre, en réclame toujours plus. Le dernier doigt de Peter se mêle à la fête et tout son poing est englouti, aspiré.
    
    Je vibre de tout mon être. Les parois de mon vagin se referment autour de la main de Peter, réclamant une stimulation totale. Peter se contente de micromouvements, laissant le tsunami se propager inexorablement en moi, par vagues successives. Je perds toute contenance. La violence de mon orgasme est inédite, d’une longueur sans précédent. Peter le savoure tout du long, le poignet ravagé par les contractions de mon vagin.
    
    Il se retire doucement, me laissant pantelante, épuisée, en totale confusion. Je pleure doucement, recouvrant mes esprits lentement.
    
    Peter s’approche de son oreille. Ses mots ne sont qu’un murmure :
    
    — Bravo, Mia. Tu as été merveilleuse…
    
    — … Merci… C’était… dingue…
    
    — ...