1. Mathilde : Les vacances d'hiver


    Datte: 05/05/2018, Catégories: h, fhh, froid, hsoumis, Masturbation Oral Partouze / Groupe hdanus, hgode, hsoumisah, Auteur: Umberto, Source: Revebebe

    ... vont s’amuser avec toi et tu feras tout ce qu’ils veulent. J’ai envie que tu goûtes à un nouveau plaisir devant moi. Et ces hommes ont l’air parfaits pour cette tâche. Es-tu toujours d’accord ?
    — Oui, mais pas tout quand même…
    — Messieurs, je vous le laisse. Je vais m’asseoir près du feu et te regarder.
    
    Étonnés par l’attitude de Mathilde, les deux hommes rient de bon cœur et se tapent dans la main.
    
    Le plus grand s’amuse à donner des coups de doigts sur mon gland, comme s’il voulait lancer une bille. Malgré son geste violent, je pousse des petits cris de plaisir. Puis il attrape mon membre et me masturbe très rapidement. Ma respiration s’accélère, j’ai du mal à reprendre mon souffle. Je sens que je vais jouir, quand j’entends :
    
    — Arrête, il va jouir. On vient juste de commencer, dit le gros.
    — Il y a une solution, répond le grand.
    
    Il attache ensemble les deux lacets de mes chaussures. Il saisit mes deux bourses et les entoure. Après deux tours, il remonte vers la base de mon membre. Il recommence en serrant bien à la racine de mon membre. Le bout de lacet qui dépasse est glissé sous les deux testicules. Il tire fort, ce qui pour effet de serrer encore plus fort. La cordelette rentre tellement dans la peau qu’immédiatement mon membre grossit en largeur. Il n’a jamais été aussi important.
    
    — Maintenant, tu peux tirer comme tu veux sur sa queue, il ne jouira pas, dit le grand.
    
    Le grand recommence à me masturber. Doucement, puis violemment, il s’amuse avec ...
    ... mon sexe. Par moment, je sens que je jouis. Mais rien ne sort, ma frustration s’accroît minute par minute.
    
    — Vas-y, masturbe-toi, jusqu’à ce que je te dise d’arrêter, dit le grand.
    — Je n’en peux plus, j’ai besoin de jouir, je réponds.
    — Tu jouiras quand on aura fini avec toi.
    — C’est pas le tout, tourne-toi, on veut voir ton cul, dit le gros.
    
    Du coin de l’œil, je vois Mathilde. Elle se caresse lentement. La vision de ce spectacle semble lui convenir.
    
    — Dans mon sac à dos, il y a une boîte. Prenez-la, elle vous sera très utile, dit Mathilde.
    — Regarde, c’est des godes, répond le gros en s’adressant au grand.
    — Oui, c’est les miens, mais ce soir c’est les siens. Faites attention, c’est une première pour lui.
    — C’est encore mieux, s’exclame le grand.
    — Pensez à bien le lubrifier… Il y a ce qu’il faut dans la boîte.
    — Pas de lubrifiant en vue, répond le gros.
    — J’en ai un très naturel, dit le grand.
    
    Le grand va chercher quelque chose dans sa sacoche. Je suis toujours sur le ventre, donc je vois ce qu’il sort. L’autre en voyant sa trouvaille, explose de rire. J’entends qu’il ouvre un récipient. Il l’approche de mon trou, et en vide une petite partie. Il saisit un petit gode rose et le plonge dans la boîte. Il le ressort aussitôt.
    
    — Je crois que tu vas aimer, mon chéri. N’hésitez pas à en mettre une bonne dose.
    
    Le grand approche le gode et l’enfonce. Je ne peux sentir mes chairs s’écarter, le gode entre. La quantité du lubrifiant est si importante qu’il ...
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