1. Mathilde : Les vacances d'hiver


    Datte: 05/05/2018, Catégories: h, fhh, froid, hsoumis, Masturbation Oral Partouze / Groupe hdanus, hgode, hsoumisah, Auteur: Umberto, Source: Revebebe

    ... risquons l’hypothermie. La panique me gagne. Les filles me voient en train d’angoisser et commencent à sangloter.
    
    Je regarde devant nous, aucun abri n’est visible. Dans un mouvement désespéré, je me retourne. Une cabane se trouve à une centaine de mètres sur notre droite. Immédiatement, je soulève Léa et demande à Mathilde de vite me suivre.
    
    Nous entrons. C’est une cabane de chasseur, quelques trophées subsistent sur les murs. Sur la gauche, je vois une grande cheminée avec un tas de bois et des vieux journaux posés juste à côté. Une vieille armoire aux portes cassées est juste en face. Une table en bois avec ses quatre chaises trône au centre de la pièce.
    
    J’installe Léa sur une chaise devant la cheminée. Je fais du feu. Les flammes crépitent. Une chaleur salvatrice envahit la pièce. J’aide Léa à ôter son manteau et ses bottes. Je frotte son corps vigoureusement. Ses vêtements sont totalement trempés.
    
    — Léa, je dois te déshabiller sinon tu ne pourras pas te réchauffer.
    — Oui, d’accord, Albert.
    — La neige a traversé ton pull, je dois retirer ton t-shirt aussi.
    — D’accord.
    — Mathilde, tu as besoin d’aide ?
    — Non, mon cœur, répond Mathilde en tremblant de froid.
    — Très bien, je vais encore frictionner Léa, son corps est glacé.
    — Heureusement que tu sais quoi faire, Albert.
    — Oui et non, j’essaie d’appliquer mes cours de secourisme. Léa, tu te sens comment maintenant ?
    — Bien mieux, Albert. Laisse-moi encore quelques minutes, pour récupérer un peu.
    — ...
    ... Très bien, tu me rassures.
    
    Les filles sont assises sur une chaise devant la cheminée. Elles sont emmitouflées dans leur duvet. Le claquement de leurs dents témoigne encore de la quantité du froid accumulée par leur corps. Pendant qu’elles essaient de se réchauffer, je prépare le repas. Ce ne sera pas extraordinaire, mais nous n’aurons pas faim. Avant de passer à table, Mathilde souhaite faire un brin de toilette. Je vais à l’extérieur chercher de la neige fraîchement tombée. Je mets la neige dans une vieille marmite et la pose sur le feu.
    
    — Dans une quinzaine de minutes, vous aurez de l’eau bien chaude.
    — Merci, mon chéri, répond Mathilde.
    — En attendant je commence à manger, les filles.
    
    Je m’installe à la table et commence à manger. J’ai préparé trois sandwichs au pâté de foie. Les bouchées se succèdent. Je ne savoure pas cet encas. Je repense à notre voyage et au concours de circonstances qui nous ont conduits ici. Une heure encore à l’extérieur nous aurait été fatidique. Je me sens responsable de Mathilde et Léa. Au final, c’est moi qui suis à l’origine de ce voyage. Donc, il m’appartient d’assurer la sécurité de ces deux personnes.
    
    Léa fait tomber son duvet. Elle porte un mini slip blanc qui cache intégralement ses fesses. Le soutien-gorge est assorti au bas. Elle sort de son sac à dos une trousse de toilette et commence à se nettoyer au savon.
    
    — Albert, tourne-toi s’il te plait, je dois me faire une toilette intime.
    — Tu sais, je connais un peu les ...
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