Mathilde : Les vacances d'hiver
Datte: 05/05/2018,
Catégories:
h,
fhh,
froid,
hsoumis,
Masturbation
Oral
Partouze / Groupe
hdanus,
hgode,
hsoumisah,
Auteur: Umberto, Source: Revebebe
... femmes.
Léa sourit, et me fait signe de faire demi-tour. Je m’exécute et m’installe à côté de la porte d’entrée.
— Dépêche-toi, je voudrais faire ma toilette aussi, j’attends l’eau chaude, dit Mathilde.
— Voilà, j’ai fini. Albert, tu peux te retourner.
— Dis-moi Mathilde, tu veux encore que j’aille chercher de l’eau ?
— Non, j’en ai suffisamment.
— Tenez, les filles, vos vêtements sont secs.
Pendant que Léa se rhabille, Mathilde se lave rapidement, s’habille, et vient nous rejoindre à la table.
La porte vient de s’ouvrir, un homme entre.
— Bonsoir, je suis le garde-chasse du domaine, j’ai vu du feu alors je suis venu voir.
— Bonsoir, je suis Albert, et voici Mathilde, ma compagne et Léa une amie.
— Que faites-vous là, vous avez vu ce temps ?
— Oui, nous savons, nous nous sommes perdus, nous cherchions le village.
— Là, vous êtes loin, il est à 10 km à l’Est. Dormez ici ce soir, et demain, je vous accompagnerai moi-même en traîneau.
— Merci, c’est gentil.
— Vous avez de quoi manger, du bois et de l’eau ?
— Oui, nous avons ce qu’il faut.
— Alors à demain.
— Au revoir.
Le repas se termine rapidement. J’installe les sacs de couchage près du feu. Chacun se retourne en sous-vêtements et plonge dans son sac. Il ne faut pas cinq minutes à Léa pour s’endormir. Mathilde et moi restons à discuter. Elle me dit qu’elle a eu très peur pour Léa et que s’il lui était arrivé quelque chose, elle s’en serait voulu toute sa vie. Je l’embrasse très affectueusement. ...
... Nous nous retournons chacun de son côté, le sommeil nous envahit peu à peu.
La porte vient de s’ouvrir brusquement, un vent glacé inonde la pièce. Des silhouettes humaines franchissent le seuil de la porte. La porte se referme. La lumière est insuffisante pour que je puisse distinguer ces personnes. Quelqu’un vient près de moi, il remet plusieurs bûches dans le feu. Le feu s’intensifie, la lumière investit la pièce.
Deux hommes sont présents dans la pièce. Ils sont vêtus d’une salopette de chasseur verte. Je distingue leurs silhouettes imposantes coiffées de leur casquette. L’un est très grand avec de très larges épaules. L’autre est plus petit avec une petite bedaine. Maintenant, je peux distinguer leur visage. Le grand a la trentaine avec un visage carré. Il est dépourvu de cheveux et a une cicatrice qui lui traverse la joue droite. Le plus rond semble plus vieux. Il le visage arrondi avec une moustache grisonnante.
— Que faites-vous ici ? Et qui êtes-vous ? dit le plus gros.
— Je suis Albert, voici Mathilde, ma compagne, et Léa, une amie. Nous sommes perdus. Et qui êtes-vous ? je lui réponds.
— Peu importe qui on est, vous êtes dans notre cabane.
— Oui, nous savons. C’est juste pour cette nuit. Nous partirons demain matin quand le garde-chasse reviendra nous chercher.
— Merde, tu entends ça, le garde revint demain matin. Va planquer la marchandise derrière la cabane.
— C’est quoi cette marchandise ? je réponds.
Le grand s’approche de moi, et vient mettre ...