1. Le Chevalier Pervers 02


    Datte: 26/02/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byDesonrage, Source: Literotica

    ... et à ma vive surprise sentis ses chairs intimes humides et chaudes. Je croisais son regard trouble. Je la basculais sur le lit et la baisais sans fioriture. Elle hoquetait sous mes coups de reins. Je la remplissais, profondément buté en elle. Je me levais et lui servait une coupe de vin. Elle hésita avant de porter ses lèvres sur le gobelet de bois. Elle devait avoir l'habitude de contenants plus raffinés. Je lui présentais mon sexe devant son visage et elle fit une moue interrogative.
    
    -Ouvrez la bouche, ordonnais-je.
    
    Mon gland fut englouti par ses lèvres fines et elle eut un hoquet. Je commençais à user de sa bouche comme d'un con, alors que des hauts le coeur la secouait et qu'elle aurait enlevé mon sexe de sa bouche si je ne l'avais pas tenue par les cheveux. J'étais dur comme la pierre et je quittais la bouche de la femme de mon adversaire malheureux du jour. Je la redressais et la poussais vers la table. Elle écarta un peu les jambes, montrant sa fente humdie et écarlate. Elle émit un "ho" sonore lorsque je butais sur son cul. Je forçais mon chemin dans son tunnel secret, et elle gémit de douleur, avant de pousser un petit cri quand je tapais mon pubis contre ses reins. Je commençais mes ruades en une chevauchée de plus en plus sauvage, et la dévastait avec méthode, excité par ses cris aigus. Lorsqu'enfin je me vidais, elle cria une dernière fois. Je la regardais se rhabiller. Elle avait les traits marqués et des cernes sous les yeux. Je lui tendis un écu d'or. ...
    ... Elle le garda dans la main et me regarda avec incompréhension.
    
    -Votre époux vous a transformé en catin vénale pour économiser son trésor. Il est normal que vous ayez une bonne gratification.
    
    Elle regarda la pièce dans sa main.
    
    -Si vous payez vos catins en or, vous n'êtes pas près de vivre dans un château.
    
    -Enculer une dame de noble lignée vaut bien le sacrifice.
    
    Elle sourit. Elle m'embrassa sur les lèvres, et partit retrouver son cocu avec l'entrejambe bien rincée.
    
    Je me rendais au château pour une ennuyeuse garde au château quand une grosse carriole traversa le village de part en part. Le blason m'était familier.
    
    -Que fait une voiture d'Erval si loin de leurs terres? Demandais je à un colporteur qui devait avoir l'information.
    
    -C'est dame Melvie, elle a été convaincue d'adultère. Répondit le marchand. Elle part pour le couvent de Mentrelle. Le seigneur d'Erval à déjà une nouvelle épouse.
    
    Je regardais s'éloigner la voiture emmenant la pauvresse que son mari chassait après l'avoir vendue pour une poignée d'or. Je fis le serment de le faire payer. Je ne savais ni quand, ni comment, mais cet honteux cocu m'en rendrait gorge. Et pas dans un tournoi.
    
    Le château était en ébullition. Le roi appelait ses vassaux pour faire la guerre à l'anglais. Par la cascade des obligations seigneuriales, le comte d'Angerviller se trouvait dans l'obligation de fournir un contingent de braves à placer entre les lances anglaises et son trône. Évidemment, la vieille crapule ...