1. Quel âne


    Datte: 25/02/2021, Catégories: fffh, rousseurs, inconnu, médical, laid(e)s, fdomine, Humour hfff, Auteur: A.Keelt, Source: Revebebe

    ... paradis. D’où je suis, ses jambes apparaissent immenses et se perdent dans l’ombre de sa blouse, où je crois deviner la pâle blancheur d’une culotte. Sa main monte à sa bouche, elle l’humecte de salive avant de la passer prestement entre ses cuisses, d’écarter sa culotte – la blancheur de sa peau nue apparaît – et de passer ses doigts avec un mouvement de balancier. Elle s’accroupit, une main toujours s’activant entre les cuisses, l’autre qui se saisit de ma matraque.
    
    — Vraiment, j’ai jamais vu ça !
    
    Une vision du paradis. À quelques centimètres de mes yeux se balance un cul. Un cul de femme, parsemé de taches de rousseur, et une fente qui sépare deux globes bien rebondis, qui s’ouvre doucement sur un anneau plus sombre. Plus bas, elle frotte désormais mon gland de bas en haut et de haut en bas sur son sexe.
    
    — Attends ! reprend l’antillaise.
    
    Elle fouille une seconde dans la poche de sa blouse et montre à sa copine une capote.
    
    — Tu connais le proverbe : « Ce n’est pas parce que c’est une belle bite, qu’il n’y a pas de virus qui l’habite ». Tiens-le, je vais t’aider, glousse-t-elle, ça me rappelle mes entraînements sur des bananes quand j’étais plus jeune.
    
    Elle déroule le latex autour de ma queue. Sensation soudaine de compression. Elle en profite pour faire quelques va-et-vient de la main puis immobilise mon sexe, droit comme un i, un I majuscule. La petite rousse descend, millimètre par millimètre
    
    — Sympa ton épilation, cette fois-ci c’est la totale ? ...
    ... reprend l’antillaise.
    — Oui, de temps en temps j’aime bien. Et Lambert aussi je crois. Ouah… doucement…
    — Hé bé. Là, y’a que le gland qu’est rentré… le plus gros est passé !
    — C’est incroyable…
    
    Elle souffle. Reprend sa progression autour de ma colonne de chair enfermée dans le plastique.
    
    — Il en reste encore la moitié !
    
    Elle remonte un peu, redescend un peu. Recommence, engloutissant un peu plus de longueur.
    
    — Aaaaaaah, lâche la petite rousse qui me prend pour un sextoy en se laissant finalement tomber complètement sur moi. C’est dingue comme effet, je le sens partout.
    
    Elle se penche en avant, agrippe mes cuisses de ses doigts, et commence des mouvements lents du bassin, elle remonte, remonte, et se laisse tomber dans un râle. Deux fois, trois fois, dix fois, vingt fois. Malgré le latex, je sens que ça dégouline le long de mon membre, que ça glisse de mieux en mieux. Pourtant je ne ressens quasiment rien. Elle monte, descend, s’empale littéralement. Vingt minutes plus tard elle y est toujours, plus liquide que jamais, les cheveux trempés de sueur, je dirais qu’elle a joui quatre fois, et je vois mon gourdin, toujours aussi dur, toujours autant tendu vers le ciel, et je ne ressens toujours rien. La pièce est pleine de râles, entrecoupés de profonds hurlements. Sa collègue antillaise l’encourage, par moment la tient et l’aide à repartir. Haut, bas, haut, bas. Elle va avoir des cuisses de championne, ça vaut tous les entraînements du monde. Tout à coup, elle pousse ...