1. Quel âne


    Datte: 25/02/2021, Catégories: fffh, rousseurs, inconnu, médical, laid(e)s, fdomine, Humour hfff, Auteur: A.Keelt, Source: Revebebe

    ... comme l’impression que j’ai la gaule. Ça me rassure un peu.
    
    — Je n’ai pas tout compris aux explications du brigadier qui l’a amené. Il a, semble-t-il, frappé un voisin en état d’ébriété après avoir tenté de se suicider en avalant des cachets, on va le garder au moins la journée, le brigadier repassera ce soir le chercher. C’est la première fois que je vois ça, ça a l’air d’être un cas. À priori ses jours ne sont pas en danger, mais il risque d’avoir une journée difficile avec ce qu’il a absorbé ! Et il paraît que sa femme, que la police a contactée, ne veut pas venir le chercher, dommage pour lui. Vous le gardez en observation.
    — Bien sûr, Docteur Lambert, ne vous inquiétez pas, dit une petite voix
    — Avec vous, ma petite Marina, je ne m’inquiète jamais. Vous passerez dans mon bureau me faire votre compte-rendu en fin d’après-midi, répond l’homme.
    
    Une porte s’ouvre en grinçant, des pas s’éloignent, la porte se referme
    
    — Tu parles ! reprend la petite voix, je les connais ses séances de compte-rendu, j’en sors avec des crampes à la mâchoire et les genoux tout bleus,« vous comprenez, Marina, sur la table où je reçois mes patients ce ne serait pas très convenable », complète-t-elle en singeant la voix du docteur.
    — Moi je suis sûre que c’est parce qu’il aime se prendre – et nous prendre – comme un homme des cavernes. Malgré sa chaîne en or, sa Rolex et son Espace, c’est ni plus ni moins qu’un homme des cavernes.
    — Bon, il est encore bel homme, et puis peut-être ...
    ... qu’un jour il m’emmènera en vacances, ajoute la petite voix.
    — Oui, sûrement, il paraît que les poules vont bientôt avoir des dents, ou quand sa femme aura divorcé, mais là, c’est pas sûr qu’il aura encore les moyens de t’emmener ailleurs qu’au Formule 1.
    
    Elles éclatent de rire.
    
    — En tout cas ça nous change des cas’soc.
    
    Elles se penchent toutes les deux au-dessus de moi. Une antillaise et une petite rousse, le visage parsemé de taches de rousseur. Cette dernière attrape le drap qui me recouvre et le soulève d’un coup sec. Heureusement que la pièce est chauffée, parce qu’en dessous je suis à poil.
    
    — Regarde ça ! dit-elle à l’intention de sa collègue. Quatre heures qu’il est comme ça, indique-t-elle en regardant mon sexe dressé à la verticale. D’une dureté à toute épreuve, on dirait une matraque de gendarme, pouffe-t-elle. D’après le doc, il a voulu se suicider au Viagra, on ne sait pas s’il l’a fait exprès ou s’il s’est gouré dans ses pilules. Dommage qu’il ne rentre pas dans mon sac à main, ajoute-t-elle, je ne fais même pas le tour avec mes deux mains ! Où pourrais-je donc le ranger, minaude-t-elle. J’ai bien une idée… ajoute-t-elle en pressant du pied le levier qui abaisse le lit qui se retrouve par terre.
    
    J’ai tout à coup une vue en contre-plongée imprenable sous leurs blouses.
    
    — Voyons voir si ça rentre.
    
    Tout en parlant, elle passe une jambe par-dessus moi… Si je n’étais pas quasi-ligoté sur un lit d’hosto ce serait peut-être une forme de vision du ...
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