1. Le bienfaiteur


    Datte: 05/05/2018, Catégories: fh, inconnu, ascenseur, pénétratio, totalsexe, occasion, bourge, Auteur: Alain C, Source: Revebebe

    ... sachant que faire, je reste dans ma position. Elle m’appelle, je m’engage à mon tour. J’entends des froissements d’étoffes venant du lieu où elle se trouve. Je comprends vite qu’elle est en train de se caresser.
    
    Elle m’attire à elle, et me murmure d’une voix hachée par le désir :
    
    — Caresse mes seins.
    
    Elle me prend la main, la glisse sous son haut. Je ne suis pas très rassuré, j’ai peur que quelqu’un nous surprenne. Elle est inconsciente, un instant j’ai eu envie de partir, mais l’envie d’elle m’a persuadé de rester.
    
    — Maintenant relève ma jupe, trousse-moi, j’aime me faire trousser par un inconnu, viens par là, on va se mettre contre le coin du mur.
    
    Elle m’aide à retrousser sa jupe, en se tordant. Elle s’en prend soudain à ma braguette, très maladroitement, au point que je dois l’aider, tant son impatience est grande.
    
    Quand ma verge jaillit enfin, j’enfile un préservatif avant que la jeune femme se dresse sur la pointe des pieds pour venir se poser dessus en la guidant de la main.
    
    Elle se pend alors à mon cou, aussitôt emmanchée, puis se lance dans des mouvements de rotation, elle danse carrément sur ma verge. Je l’accule au maximum, me plaçant à grands coups de reins poussés dans ses derniers retranchements.
    
    Peu à peu, mes yeux commencent à voir dans l’obscurité, ce qui me permet de l’apercevoir. C’est à ce moment-là que la porte du hall s’ouvre, et la lumière fait son apparition. Je réalise tout à coup dans quel décor je suis en train de m’envoyer ...
    ... la coquine, dont son haut de vêtement relevé laisse apparaître deux seins magnifiques, fermes et ronds, s’affaissant à peine sous leur propre poids, et dotés de deux mamelons bruns, incroyablement dressés.
    
    Le pas de l’inconnu résonne sur les marches. Ma partenaire d’un jour a mis un terme à ses gémissements. La personne entrée chez elle, je me mets à administrer à ma partenaire de violents coups de reins dans son con, l’écrasant contre le mur. Elle grogne des mots incompréhensibles. Je m’autorise alors le droit de jouir, elle le sait, elle le sent, mais elle n’est pas d’accord et le dit :
    
    — Non ! Non ! Pas tout de suite, je t’en supplie.
    
    Elle veut profiter de moi quelques instants encore. Je ralentis le rythme, retenant mon éjaculation. Légèrement fléchi sur mes genoux, mes mains la maintenant sous ses fesses, je reste en elle posément jusqu’à la garde. La minuterie se coupe, nous sommes de nouveau dans le noir.
    
    Elle apprécie, se balançant alors d’avant en arrière. Par peur de me faire surprendre en mauvaise posture sous l’escalier, je prends la décision de précipiter les choses, je fourre ma langue dans son oreille. Le résultat ne se fait pas attendre, elle pousse un cri d’extase, couvert aussitôt par un grognement assourdissant.
    
    Je sens ma partenaire vibrer grâce aux ondes violentes de son plaisir. J’y ajoute alors le mien, quelque chose de considérable, je crois que je n’ai jamais joui aussi fort de ma vie. Je n’en finis plus de me déverser dans le con de ma ...