Le bienfaiteur
Datte: 05/05/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
ascenseur,
pénétratio,
totalsexe,
occasion,
bourge,
Auteur: Alain C, Source: Revebebe
... malheureusement pour elle, son sac à main reste accroché à je ne sais quoi. Elle reste ainsi coincée, une jambe à l’extérieur de l’habitacle et l’autre à l’intérieur. Ses cuisses largement écartées laissent apercevoir sa culotte blanche.
Mon sexe se réveille alors.
Elle gesticule, ce qui fait accroître la montée de sa jupe, pour mon plus grand plaisir. Je suis à l’arrêt, comme un chien de chasse, profitant en toute impunité de cette belle vue.
— Vous voulez que je vous aide, ma chère dame ? dis-je.
— Oui, allez au diable ! rugit-elle.
Je prends alors congé. Je me dis qu’il y a assez de femmes autour de moi pour ne pas m’accrocher à une bourgeoise, de plus arrogante.
D’ailleurs, mon attention se porte sur la mère de famille qui descend de l’autobus avec dans chaque main une fillette. Cheveux bouclés très noirs, elle porte un petit haut de satin qui épouse parfaitement ses formes, rehaussé joliment de dentelles. Cela me donne envie de venir la caresser, de faire passer son sein au-dessus de cette dentelle. Une minijupe sous son manteau déboutonné, le tout monté sur des bottes.
Elle ondule des hanches jusqu’au portail de l’entrée de l’école, où elle et ses deux fillettes prennent position, attendant que les portes s’ouvrent. Je rentre dans le bistro qui fait l’angle et je me place près de la vitrine pour l’observer. Je lui donne la trentaine. Soudain, sans savoir pourquoi, elle se met à me fixer, et je crois deviner très vite un vague sourire sur ses ...
... lèvres. La douceur de ses traits et la beauté de son sourire me laissent rêveur. Malheureusement pour moi, le portail de l’école s’ouvre et elle disparaît dans le bâtiment. Sa frêle silhouette ressort quelques instant plus tard, sautillant vers l‘arrêt du bus. Elle reste là, seule à attendre. Sans perdre de temps, je me lève et patiente près de l’entrée du bistrot l’arrivée du prochain autocar, bien décidé de le prendre en sa compagnie.
Je prends un siège pas trop près de mon inconnue, bercé que je suis par le déplacement. La jeune femme ne cesse pas de me surveiller, de sa place. C’est le genre de jeune femme ayant ma préférence, les plus vulnérables. Celles dont le mari, après la naissance de ses enfants, passe son temps devant la télé en décoiffant les cannettes de bière au lieu de satisfaire sa conjointe câlinement. Peu à peu elle devient un meuble, dont il n’est pourtant pas question de se séparer. Résumant tout cela, ça donne la monotonie du couple.
Au bout du troisième arrêt, elle descend, moi à ses trousses. Dans le trottinement saccadé de ses talons hauts, je la suis. Elle sort alors des clés, ouvre la porte d’un hall et se retourne, constatant ma poursuite. J’avance jusqu’à l’ouverture. Ne parlant qu’avec mes yeux, je m’engage dans un intérieur sombre, sans toucher à la minuterie. Je ferme tout de même la porte derrière moi.
L’entrée sent le propre. Peu à peu ma vue s’habitue à l’obscurité, ce qui me permet de la distinguer. Elle se dirige sous l’escalier. Ne ...