1. M ontagne magique


    Datte: 24/02/2021, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... soupçonnèrent pas moins les choses car du jour au lendemain, ils ne nous virent plus au dîner ni finir la soirée dans la grande salle. Au contraire, elle m'enjoignait de l'emmener loin avec la voiture. Elle n’adorait rien tant que d'y faire des cochonneries. Ainsi me suçait-elle dans tandis que les passants frôlaient le véhicule. Idem je la pouvais prendre par-devant ou derrière. C'était une façon d'illustrer la fameuse expression : S'envoyer en l'air. Les badauds devaient maugréer : « O la salope ! »t
    
    Des fois elle insistait pour que nous nous perdions dans des bouges, des bars mal famés. Là elle allumait impunément bien que je fus avec elle. Devant moi elle se laissa baratiner. Finalement un jour après m'avoir toisé de son mépris, elle suivit un type dans les chiottes. Cela dura une demi-heure. Il était patent qu'ils y folâtraient. Les gars du bar gars mi-ironiques, m'observaient de loin. Quand elle revint cheveux en broussaille, mini-jupe froissée, elle m'intima sans un regard de la suivre vers la sortie. Elle n'eût point de mots hormis celui de me dire qu'elle avait fort sommeil.
    
    J'étais furieux de ce mutisme. Arrivé en sa chambre tandis qu'elle se roulait déjà dans les draps je lui proclamais que j'avais envie de ma pitance et de baiser. Elle se retourna, lasse me concédant en un souffle : « Vas-y chéri si cela ne te répugne de m'enculer après qu'un autre s'y soit rué. » Cet aveu m’exaspéra au plus haut point ...
    ... et jamais sodomie ne fut si brutale. Elle en fut la première étonnée ou plutôt avait-elle voulu ce résultat et s'en réjouissait. Je besognais plus d'une demi-heure dans ce cul comme à titre de dédommagement. Sur la fin je m'aperçus trop tard qu’elle s'était endormie.
    
    Elle réitéra son comportement insane. Même punition, je l'enculais sur le champ. Nous étions devenus esclaves de la chose. A la fin nous ne quittions plus la chambre. Nous nous faisions livrer quelques plateaux. Nous sortions cependant à la nuit tombée. On nous regardait avec réprobation. Nous étions un scandale vivant. Nous avions transformé cette noble résidence en un veule lupanar. Il était temps de nous quitter. J'eus un long mot d'elle sur ma boîte mail plus tard. Elle s'excusait de sa v******e. Elle me remerciait d'avoir illuminé ce séjour. Je crus devoir lui répondre de même.
    
    Six mois après je revins par hasard à la résidence. J'y étais accompagné d'une amie. Je tremblais de ma témérité d'avoir choisi un lieu où j'avais tant sévi. Je revenais sur le lieu du crime. Fort heureusement j'y reconnus peu de gens hormis le personnel. Le barman avec un franc sourire me rappela que j'avais en effet choqué en ce temps avec la dame. Cependant il en avait vu d'autres. Plus troublant il ajouta que cette femme avait couché avec nombre dont lui. Je tombais des nues. J'avais été une dupe. J'eus du mal pourtant à lui en vouloir. Son souvenir demeurait impérissable. 
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