1. M ontagne magique


    Datte: 24/02/2021, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... droit à une conversation plus nourrie à ce sujet. Le mari qui abhorrait ce sujet était trop content que j'amenas en leur couple un peu de chaleur humaine. Il n'était pas mécontent de nous laisser pour aller au billard avec d'autres. Elle en concevait du soulagement lorsqu'il s'éloignait. C'était à un point flagrant qu'un jour je ne pus m'empêcher de dire : « Je ne conçois pas que vous puissiez haïr autant votre mari. » Elle ne répondit pas à mon insolent et inopportun propos. Cependant j'avais touché juste.
    
    Ce fut comme notre secret. A partir de là tout s'en déduit. J'étais un peu en colère contre elle. Tout me décontenançait chez elle. Je prenais le parti de ce pauvre mari. Il me semblait qu’elle méprisait à travers lui toute l'engeance masculine. J'eus idée qu’elle était de la patrie de Lesbos. Je l'observais à l'égard des autres femmes mais là aussi rien ne parut. Peu après je résolus d'être indélicat à son égard. J’affectais un genre mufle. Ainsi un soir tandis qu'au loin on applaudissait à un trio de jazz, je fis mine de faire choir mon mouchoir. Le ramassant je demeurais longtemps sous la table.
    
    Je n'avais cure qu'on perçut mon manège. Je voulais principalement la choquer et l'indisposer. Je n'en examinais pas moins ses cuisses. Elle les décroisa durant l'apnée. Suffisamment pour que j'y pus distinguer entre tout sa culotte. Celle-ci était blanche et à un point transparent que j'y vis toute sa chatte avec de rares poils pubiens. J'eus idée qu’elle l’avait fait ...
    ... exprès. Elle répondit à mon défi par un autre. N'étais-je point l'arroseur arrosé ? Je n'en demandais tant. J'étais content. Je bandais tel un forcené. Elle dut être réjouie de me voir tant rougir alors revenu de l'enfer délicieux.
    
    Une connivence était à présent établie entre nous car cette fois, elle fit choir son mouchoir. Là encore le mari était éloigné et tous étaient occupés à une sotte fiesta. Scaphandrier résolu, je redescendis dans les profondeurs. Cette fois stupéfait et bien qu'il fit si sombre, je vis parfaitement qu’elle n'avait pas de culotte. J'eus pu croire que j'étais dupé par la transparence de celle-ci mais il n'y avait point à redire. La salope à dessein s'était délestée ce jour-là de toute culotte. Sûrement était-elle familière de ce type d'inconvenance. Elle avait voulu ainsi me donner une leçon.
    
    Elle ajouta à ce scandale celui de glisser son pied qu’elle avait adorable tout gainé de soie jusqu'à moi après qu’elle l'eût prestement extrait de l'escarpin. Ce pied chaud sensuel, a****l vint quasi jusqu'à mon visage pour le caresser comme un gros chat. Je n'ai jamais éprouvé de commotion sexuelle si électrique. Je manquais de défaillir et de ne plus remonter. Cette fois je n'étais non pas rouge mais livide. A ce moment le mari revint me croyant trop mal. Je prétextais un truc du dîner qui ne passais pas et profitais pour m'éclipser. Je finis aux toilettes à me branler et à éjaculer.
    
    J’avais tout faux. C'était plus qu'une garce. C'était une débauchée qui ...