1. Anniversaire


    Datte: 23/02/2021, Catégories: fh, caférestau, anniversai, volupté, BDSM / Fétichisme massage, intermast, Oral pénétratio, aliments, Auteur: Ugluk, Source: Revebebe

    ... je suis prise d’un violent spasme. Julien vient de déposer sa mixture tout autour du bourgeon de mon clitoris. C’est trop chaud, trop fort, trop bon !
    
    Il s’applique maintenant à décorer mes petites lèvres. Ma respiration s’accélère. Je fais des efforts surhumains pour rester immobile et ne pas onduler ma croupe comme lors d’un coït. Mes muscles internes se contractent. Tout mon sexe est en feu. Je ruisselle et Julien doit s’en rendre compte, car il obstrue complètement l’entrée de mon fourreau en y déposant tant de crème qu’il me semble qu’elle entre à l’intérieur de mon ventre. Crème brûlante sur chair en fusion. Finalement, Julien termine en déposant une rosace directement sur mon clitoris. Il est certainement complètement dégagé de son petit capuchon, car la sensation de brûlure et de plaisir mêlés est si forte qu’une onde violente se propage dans tout mon ventre et, contre toute attente, je suis submergée par un orgasme incontrôlé, bref, puissant et étonnant. Lorsque je reprends mes esprits, je m’aperçois que Julien a parfaitement compris que je viens de jouir. Il m’embrasse et commande :
    
    — Ne bouge pas ! Il faut que je souffle mes bougies.
    
    Il approche alors les bougeoirs qu’il dispose tout autour de mon corps. Il en met même un entre mes cuisses, juste à côté de mon sexe. Il souffle alors les deux premières bougies, celles qu’il a installées près de mes seins, puis il commence à déguster la crème qu’il lèche directement sur mon corps. La langue est douce. Elle ...
    ... me transmet un plaisir raffiné et doux qui réveille à nouveau, s’il en était besoin, mes sens très réceptifs, presque trop réceptifs. Julien s’applique à ne laisser aucune trace de crème sur mes seins, découvrant ma peau légèrement rougie par les morsures de la chaleur trop vive sur mon épiderme si fragile. Il dévore avec gourmandise sa préparation et insiste sur mes tétons, qu’il découvre toujours crispés autour des pointes saillantes. Profitant de la situation pour les agacer encore plus, il me les mordille et les aspire alternativement. Les mains viennent accompagner la bouche et glissent sur mes deux globes mouillés par la salive. Ce jeu se poursuit un peu avant que Julien ne souffle deux autres bougies et que sa bouche ne se décide à poursuivre son festin en descendant sur mon ventre, empruntant le même chemin que la poche à peine quelques minutes plus tôt. Je vibre sous les douces caresses de la langue. Brusquement, à mon tour, j’ai envie de partager ce dessert, alors je réclame :
    
    — Tu n’as pas honte de manger tout seul ?
    — C’est vrai, tu as raison. La gourmandise est un vilain défaut alors, je vais te faire goûter à cette délicieuse crème pâtissière.
    
    À peine a-t-il terminé de parler que sa bouche se rue sur mon ventre et semble s’y goinfrer. M’oublie-t-il ? Je me suis relevée sur mes coudes et je l’observe offusquée.
    
    « Oh ! le rustre ! ne puis-je m’empêcher de penser. Il va tout manger… »
    
    Julien me donne aussitôt tort en posant sa bouche contre la mienne. ...
«12...111213...»